LES BOSTON CELTICS

Vends Baskets BALL'N Lay Up Low neuves. T 44.5


Prix: 40 €
Ville : Liergues
Code postal : 69400
Type : Homme
Pointure : 44.5
Description :
Une très belle paire de basket BALL'N neuve dans sa boite d'origine. Taille 44.5. (Violet.blanc.or).

VALEUR NEUVE/ 71 EUROS
FRAIS DE PORT + 9 EUROS

me contacter par mail: beletterudy@yahoo.fr

Patins
Langue maternelle et la cheville en forme, rembourrée
Technologie D30
Trous de perforation
Langue maternelle de maillage.
Semelle épaisse en caoutchouc
Chevrons traction panneaux
Absorption des chocs maximale
Amortissement maximal
Flexibilité maximale
Boule N tout marque
Synthétique supérieure, textile intérieure synthétique semelle

BALL'N : les origines

BALL'N a été créé en 1991 à Chicago par Rodney Jeter. La marque a commencé par commercialiser des jeux de maillots pour les équipes locales, puis très rapidement des vêtements de compression et de protection.

C'est pour la producton de ces éléments de protection que BALL'N a commencé à collaborer avec la société D3O.

C'est ce partenariat avec D3O, ainsi que l'engagement de Ron Artest, depuis devenu Metta WorldPeace, qui ont permis à la marque de lancer en 2011 sa première ligne de chaussures de basket, sur l'ensemble des USA. 6 modèles sont pour le moment prévus, dans tous les coloris NBA classiques. Disponibles aux USA chez tous les grands dsitributeurs (Foot Action, Foot Locker...), ces produits sont disponibles en France chez les meilleurs spécialistes basketball.
Objectifs

Depuis 1991, BALL'N propose aux joueurs de basket des produits de qualité, stylés et abordables, utlisables sur le terrain et en dehors. Et toujours "the way the game is played"
Une dimension humaine et sociale

BALL'N sponsorise depuis plusieurs années un des plus gros tournois street de New York, le Tri State Classic

Un des objectifs majeurs de Rodney Jeter au lancement de la marque était de rendre une partie de son succès à la communauté de Chicago. C'est toujours le cas lors des camps, tournois et programmes sociaux qui y sont organisés.

07/10/2013
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Boston Celtics : Avery Bradley débutera à la mène

Basketball

De BasketSession

Avec Rajon Rondo out jusqu’au mois de décembre, Brad Stevens et les Boston Celtics vont devoir trouver de nouvelles solutions à la mène. A priori, l’ancien coach de Butler a déjà fait son choix. Félicitation, Avery Bradley, vous êtes promu au poste de meneur de jeu.

« Je pense qu’il n’y a aucun doute sur le fait qu’Avery a les capacités nécessaires pour jouer meneur de jeu. Il défend très bien. C’est un super athlète. Je pense qu’il progresse, il devient un meilleur joueur et il est très excité à l’idée de relever le défi », raconte Brad Stevens au Boston Herald.

Effectivement, défensivement parlant, Avery Bradley sera un poison pour le meneur scoreur adverse. Ses capacités athlétiques, sa vivacité font de lui un des meilleurs stoppeur de a ligue. Il a d’ailleurs été élu dans le deuxième meilleur cinq défensif la saison passée. En revanche, le natif de Tacoma n’est pas un grand attaquant, loin de là. La gestion des Celtics risque donc d’en être fortement affectée et maintenant que Paul Pierce est parti, on se demande bien qui va apporter de la créativité en attaque à Boston en l’absence de Rondo… Brad Stevens se veut tout de même optimiste :

« Je comprends que les gens estiment qu’il est en difficulté en attaque à cause des statistiques (9 points, 40% aux tirs) mais on ne peut pas se fier uniquement aux chiffres. »

« On espère qu’il pourra devenir le meilleur meneur de jeu possible, même au retour de Rondo car ce dernier ne jouera pas 48 minutes par match. »

La saison des Celtics sera longue, très longue.


28/09/2013
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Madame Monsieur,

OUI, des voyous sans foi ni loi ont bien cherché à dépouiller les victimes encore ensanglantées de la catastrophe SNCF de Brétigny-sur-Orge.

OUI, des jeunes ont bien agressé des secouristes, forçant la préfecture de police à envoyer des CRS pour leur permettre de sauver les blessés graves.

Et oui, hélas, le premier réflexe du gouvernement, relayé par de nombreux médias, a été de minimiser, et même de camoufler la réalité.

Le Ministre du Transport a d'abord nié tout pillage des victimes, puis expliqué que les forces de l'ordre, caillassées, avaient simplement été accueillies « de façon un peu rude ». Harlem Désir, sur Europe 1, a pour sa part qualifié ces exactions de « rumeurs » et a préféré saluer la solidarité exceptionnelle (sic) des habitants de Brétigny.

Ceci, alors que les policiers ont trouvé ce SMS, retrouvé dans le téléphone d'un des suspects : « T'as trouvé quoi dans les bagages ? ». Christophe Crépin, porte-parole du syndicat UNSA, qui était sur place, l'a d'ailleurs affirmé de manière formelle : « Il y avait des gens qui étaient en train de perdre leur bras ou leur jambe, et d'autres sont venus voler leur montre ou leur portable ».

Le plus inquiétant, c'est que cette façon de nier la réalité devient une habitude. Ce week-end encore, pour parler des scènes d'émeutes et de guérilla urbaine de Trappes, de nombreux médias ont utilisé les termes « d'échauffourées », de « tensions » ou de « heurts ».

Pour vous, la leçon de tout ceci doit être claire :

Vous ne pouvez malheureusement plus compter sur les médias ou les autorités officielles pour vous informer correctement sur ces sujets « sensibles ». Pour prendre des exemples récents, je suis certaine que vous n'étiez pas au courant :

  - que deux détenus se sont évadés le 23 juin dernier de la prison de Meaux à l'occasion d'une activité de... canoë kayak ;
   
  - qu'une vieille dame de 84 ans, qui voulait rentrer chez elle à Bordeaux, a été obligée de séjourner à l'hôtel le mois dernier parce que des clandestins bulgares avaient squatté son domicile ;
   
  - que l'individu de 32 ans, qui, dans un parc de Villeurbanne, a frappé sauvagement une fille de 4 ans, avait déjà commis pas moins de soixante délits.
   

En fait, je suis convaincue que, même si vous êtes sympathisants de longue date de l'Institut pour la Justice, vous n'êtes pas au courant du quart, voire du dixième de ce qui se produit réellement dans notre pays.

J'en veux pour preuve les réactions de beaucoup de lecteurs au livre « Quand la Justice crée l'insécurité », du secrétaire général de l'IPJ.

Beaucoup sont restés abasourdis devant les réalités révélées dans ce livre. Je vous cite quelques-unes de ces réactions spontanées, qui nous ont été envoyées par email ou qui ont été postées sur le site d'Amazon (vous pouvez lire la totalité de ces dernières en vous rendant ici) :

  « Si seulement 10 % de ce que contient cet ouvrage était exact, ce serait déjà effarant. Or tout porte à considérer que la réalité des faits ici soigneusement décrits va bien au-delà de cette proportion. (...) La plus grande surprise qu'apporte la lecture de ce livre est probablement la découverte de l'étendue de nos idées fausses sur ce problème. Même ceux qui sont déjà convaincus du besoin de plus de justice en France y découvriront l'ampleur de leur aimable naïveté. » Morpho.
  
  « C'est un livre édifiant. Comment peut-on en être arrivé à une telle situation et comment se fait-il que nos politiques soient à ce point aveugles » Robert H.
  
  « Sans excès et avec la plus grande clarté, ce livre dresse un état des lieux qui fait froid dans le dos. Absolument remarquable.» N. de Joncaire
  
  « Il faut absolument lire ce livre pour pouvoir discuter des problèmes de la justice dans notre pays. On ne pourra plus dire: je ne savais pas.» Bourdoc
  

Alors si vous voulez nous aider à ouvrir les yeux de nos concitoyens, merci de transférer ce message autour de vous et, si possible, faites comme Charlotte P. !

« Je fais la promotion autour de moi de votre livre car il est l'explication de la terrible réalité dans laquelle nous « survivons », honnêtes citoyens français, abandonnés par la « Justice. » Charlotte P.

Et, si vous ne l'avez pas encore fait, vous pouvez bien sûr vous procurer ce livre en vous rendant ici (lien cliquable)

Avec tous mes remerciements pour votre aide,

Laurence Havel



Institut pour la Justice

Institut pour la Justice - 140 bis, rue de Rennes - 75006 Paris
www.institutpourlajustice.org

Pour être sûr(e) de recevoir nos prochains emailings, ajoutez l'adresse de l'Institut pour la Justice "info@news.institutpourlajustice.com"
dans votre carnet d'adresses ou dans votre liste d'expéditeurs autorisés.


23/07/2013
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CELTICS’ KELLY OLYNYK HAS MIND FOR BASKETBALL

 

 

Kelly Olynyk displayed a variety of skills in summer league, averaging 18 points and 7.8 rebounds for the Celtics.

JOHN RAOUX/ASSOCIATED PRESS

Kelly Olynyk displayed a variety of skills in summer league, averaging 18 points and 7.8 rebounds for the Celtics.

Tennis balls whiz at Kelly Olynyk, again and again. Each bears a number or letter, cues for a choreographed movement. There’s no time to think, only to catch and react in the drill that would help change everything. And that’s the point: don’t think.

 

“A high basketball IQ.” That’s the term basketball types often use to describe Kelly Olynyk, a 7-footer out of Gonzaga whom the Celtics acquired in the first round of June’s NBA draft.

His background checks out: an Academic All-American who graduated with an accounting degree in 3½ years; who is one year from earning his MBA; who has that rare affinity for numbers and equations because of their beautiful simplicity.

 

“You’re either right or wrong,” said Olynyk, whose Orlando Summer League performance (18 points, 7.8 rebounds per game) made him an intriguing story line heading into a rebuilding season.

His brain is one with gears always in churn, gauging possibilities, searching for answers, as it has for years.

To wit:

When he was 7, he decided he’d make his living playing basketball, but his parents said to keep a backup plan, and he told them, that, OK, he’d become a farmer if Plan A failed.

He decided he’d become a farmer because growing up in Toronto, he saw the homeless, the men and women invisible to daily passersby but not yet to him.

And he believed that if he tilled the soil and planted seed, he could grow them food.

“I just felt, I don’t know, I just wanted to help people,” he said. “I was a little kid.”

A problem, a solution — at least in part. But this notion of helping, which became a central theme to his identity as a player, was further reinforced under his father’s basketball tutelage.

Olynyk played point guard on the youth team, and Ken Olynyk, a 6-6 former college basketball forward long involved in the Canadian national team, had a rule that the point guard on his team could pass, and only pass, but could not score, period.

“Your job is to get the ball to other people and make other people better,” the elder Olynyk preached.

And when Olynyk was in high school, where his father again coached him and Olynyk again played the point, that rule still held: Help yourself and the team by helping others first.

Then Olynyk grew . . . and grew, from 6-3 to 6-10 in one year, and to 7 feet soon after.

No longer could he play point guard and focus on helping others. He had to focus on helping himself, which meant, in no small part, overcoming himself — and his brilliant mind.

 

Mental approach

 

After playing for the Canadian junior men’s national team, Olynyk arrived at Gonzaga as promising and skilled, with strong opinions about the game and how he fit into it.

“He wanted to hang out on the 3-point line and be Dirk Nowitzki,” said Gonzaga assistant Tommy Lloyd. “But his 3-point percentage wasn’t really good, and he was turning the ball over at a high rate because he wasn’t strong enough to drive and handle contact and absorb contact.”

Plus, there were simply better and more experienced frontline players ahead of him: Robert Sacre (7 feet), Sam Dower (6-9), and Elias Harris (6-8).

“There were a lot of minutes to split between a lot of good guys and Kelly,” said Gonzaga coach Mark Few.

Given the logjam, and his need to develop, Olynyk, coming off a sophomore year averaging 5.8 points and 13.5 minutes, decided to redshirt, a highly unusual mid-career move for a college player.

“It’s tough to make that sacrifice,” he said, “but when you think about it, you need to make sacrifices in order to make gains in life.”

The move became the turning point in his college career.

First, by not playing, he couldn’t use postgame stat sheets to measure improvement. He didn’t have to worry about being ready for games or resting. He could just work for about 18 months.

But Olynyk’s mind still functioned as if he were a point guard, as he had been for most of his life. It hadn’t caught up to his new, 7-foot frame. “I knew what I wanted to do and where I wanted to go,” he said, “but I just couldn’t get there physically.”

The goal then became, beyond making him stronger through traditional and non-traditional weightlifting sessions, which packed on about 15 pounds, to slow down Olynyk’s busy mind.

That’s where the tennis balls came in — an unusual drill that focused on neurological training.

Every day, for the better part of a half-hour, Travis Knight, Gonzaga’s strength and conditioning coach, would from close range toss Olynyk tennis balls bearing a number or letter that represented a complicated movement, maybe a stepback jumper from the left side, or a shot-fake, dribble, then shot from the right. Or something else.

“We had to get to a point where he didn’t have to think about all these movements,” said Knight, a former infielder for the Gonzaga baseball team who believes strongly in hand-eye coordination.

The drill, Knight said, helped train Olynyk’s brain to function more on a subconscious level.

“It helped me, furthermore, to be able to read plays and slow the game down,” Olynyk said. “And when I came in, I could see plays happening, see plays developing, and really slow down and take a step back and really be integrated into the play rather than having everything be a whirlwind.”

But it wasn’t a drill you’d be likely to find anywhere else.

“He was like the Frankenstein monster, and I was like the mad scientist, and we were just experimenting,” Knight said.

Another aspect that improved his game that offseason was that in several practices, the rule was that he had to stay in the paint and only the paint, where he battled Sacre, Harris, and Dower, players with different styles.

Sacre, who plays for the Los Angeles Lakers, was all muscle at 260 pounds, forcing Olynyk to use pump fakes and footwork to score. Harris was a bit undersized, but athletic and strong, combating Olynyk’s size with his athleticism. Dower, at 6-9, had the wingspan of a 7-footer, presenting yet another challenge. “And you had to react differently to every guy,” Olynyk said.

Yet another factor in his mental development came in games, when the coaches incorporated Olynyk into a graduate assistant role, having him chart various stats, such as rebounds, or focusing on a handful of other elements.

At halftime, they asked what he saw, how he felt the team was executing, what changes he suggested. He often shared their frustrations if a game plan wasn’t being followed.

“It helped me see what they wanted in certain situations,” Olynyk said, “and what they were saying and what they were preaching and asking for and how you could accomplish that.”

Few praises Olynyk, calling him intelligent, a quick learner with a creative side to his brain who’s always pondering different methods, moves or ways to attack.

“Sometimes that can be a strength of his, and sometimes that can be a weakness, too,” Few said.

Olynyk conceded that point, noting that it worked against him sometimes in games.

“You’re thinking, ‘Oh, I thought this guy was going to do this because that’s what I would’ve done because it was the smart thing to do,’ but sometimes people wouldn’t do that,” he said.

And, overall, Few said it was tough changing Olynyk’s mind about the player he thought he was.

“Once he gets going on his, ‘This is my interpretation . . . ’ it’s like, ‘No, Kelly, it’s not about your interpretation. It’s about our interpretation,’ ” Few said. “That’s a little bit about what held him back earlier, in his first two years.

“He was like, ‘Well, this is my interpretation of what I think my game should be — a 3-point shooter.’

“It’s like, ‘No, we can utilize that, but at 7 feet tall, with your size, we’re going to have to mix in, at least 50 percent of some things inside the paint.’ ”

But once his mind and body began functioning in tandem, once he became more comfortable reading the game and using size and mobility to create mismatches, Olynyk blossomed.

Gonzaga went 32-3 and he became a consensus All-American and the West Coast Conference Player of the Year, averaging 17.8 points, 7.3 rebounds, 1.1 blocks, and 26.4 minutes. He was third in the nation in field goal shooting (62.9 percent).

“He’s in a way better place now, as far as, he understands that he can’t let that creative side be more dominant than the intellectual side,” Few said.

Just as Olynyk believes that there is a right and a wrong to equations, so too does he believe that there is a right and wrong to basketball — and it’s all in adapting.

“It’s ever-changing and you have to be able to adapt to your surroundings and your skill set and your competition and what will work and what won’t,” Olynyk said.

“It’s basically the most adapted person wins.”

So that’s what he did — adapt and change.

Steve Konchalski, a longtime fixture with the Canadian national team, very much noticed the difference.

“Back four years ago, he was too content to stand out at the 3-point line,” Konchalski said.

Then, after watching Olynyk play summer league, Konchalski said, “He played inside, outside, he got to the boards, he had a couple little tricky moves inside, scoop shots, that sort of thing, which you don’t usually see 7-footers do.”

 

Team player

 

When Celtics president of basketball operations Danny Ainge introduced Olynyk a few days after the team traded up three spots in the draft to acquire him with the 13th overall pick, Ainge described Olynyk as skilled, smart, calm. Ainge said he sees Olynyk weighing 260 pounds (20 more than he does now) and as a power forward who can play center occasionally.

“I don’t see Kelly as a go-to guy in the NBA,” Ainge added, “but a guy that complements the rest of the guys on the team and makes them all better.”

Not a “go-to” player? Some took that as a jab. Olynyk said he hasn’t thought much about it.

“We’ll see what happens,” he said. “I just need to make sure I maximize my potential.”

A safe answer, but the term “complementary player” carries a negative connotation in the US more than elsewhere, and it’s worth noting that Olynyk’s game is international, first and foremost.

“The foreign player’s idea of a good basketball player was someone who could get 15 points, 15 rebounds, and 15 assists in a game,” said his father, Ken, who played four years at Simon Fraser University in Vancouver and is the athletic director at Thompson Rivers University in British Columbia.

“So, that’s the format that Kelly always tried to emulate.”

Said Olynyk, “It’s easier to score 30 points than it is to do that,” he said, referencing the above numbers in three different categories.

“Playing internationally and seeing how valuable that is to another team is something that every kid should strive for,” he added, “but it’s definitely not portrayed like that in the media or in people’s eyes today, especially [in the United States].”

No, not in this “SportsCenter,” highlight-driven culture, filled with slam dunks and ankle-breaking crossovers.

But he’s at peace with not being a go-to guy, anyway.

“What you want is a whole that is greater than the sum of the parts,” Olynyk said, quoting Aristotle.

Or, as Few said, “I can’t overstate just how big of a team guy he is.”

Olynyk credits his father for that mind-set.

“One of the things he always told me when I was younger, good players can score, but great players can make the people around them better,” Olynyk said.

That was especially true in football, which Olynyk played in high school, quarterbacking the South Kamloops Titans.

Not only was Olynyk fascinated with the fact that every play could be a game-breaker, but also that everyone had to work as one on every play for that play to have any success.

“Obviously, you can’t throw the ball and catch the ball,” he said. “You’ve got to put your teammates in a position to succeed, and I think that’s something you have to do as a point guard as well — or anybody on a basketball floor.”

The Celtics signed Olynyk to his rookie deal in the midst of his summer league dominance, and new coach Brad Stevens said it should be Olynyk’s goal to make the All-Rookie Team.

Olynyk will wear No. 41 with the Celtics, just like Nowitzki wears with Dallas, but Olynyk swears that he picked that number because there weren’t many options with the Celtics, who have retired many through their rich history.

Nevertheless, it was Nowitzki to whom many Celtics fans and a few others compared Olynyk after watching summer league. And when asked for his impressions of Olynyk, Celtics forward Shavlik Randolph jokingly replied, “Oh, you mean Dirk? He’s very impressive.”

They share a fair-colored mane and a scruffy goatee that comforts their chin, but the comparisons can wait. Olynyk’s mind is on overdrive as it is, gears churning, gauging possibilities, searching for answers, adapting, always adapting, to this ever-changing game.


21/07/2013
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BOSTON CELTICS SHOULD TRADE RAJON RONDO SOONER RATHER THAN LATER

BY 

 (CONTRIBUTOR) ON JULY 20, 2013

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Jared Wickerham/Getty Images

Trade your coach of nine seasons to the Los Angeles Clippers? Check.

Trade your franchise player? Check.

Trade the heart and soul of the team's defense in the same trade? Check.

Hire a 36-year-old coach with no formerNBA coaching experience? Check.

The Boston Celtics are rebuilding! General manager Danny Ainge said goodbye to the "Big Three" era and seems ready to start a new era. It's beyond clear that the team, as constructed, cannot contend for a championship. 

Another thing is clear: This team also might not be bad enough to secure a top pick in the draft. This is when teams are faced with difficult decisions. They have young guys in Kelly Olynyk, Jared Sullinger, Avery Bradley, Jeff Green and Marshon Brooks. They also have the (seemingly untradeable) three years and $30 million left on Gerald Wallace's contract.

How can the team improve from the roster they currently have and arrive at a new era sooner rather than later?

Trade Rajon Rondo.

I'm aware he's averaged double-digit assists each of the past three seasons. I'm aware he led the league in triple-doubles over the past two seasons (he has 11 and no other player has more than five). I'm also aware he's coming off an ACL injury, but how else can you dive into a new era if your Ainge?

 

Hi-res-172884194_crop_exactDarren McCollester/Getty Images

 

The team as constructed is probably set to get a low lottery pick or a low playoff seed. When you're rebuilding, that's the worst position to be in—NBA purgatory, if you will. Trading one of their young assets will not get you a game-changer. Trading your 27-year-old point guard is your best bet.

New coach Brad Stevens, however, does seem very committed to Rondo. Per Chris Forsberg of ESPNBoston.com:

"We spent quite a bit of time just alone together talking, just learning more about him. I just enjoyed spending time with him and asking him questions, not only about his time with the Celtics but time before. I found him to be really, really intelligent, really, really insightful. I thought he had great ideas. I'm really looking forward to working with him."

That's all well and dandy, but the city of Boston is about championships. Before Pierce, Garnett and Ray Allen helped bring them the 2008 NBA title, the team had not held the Larry O'Brien trophy since 1986. I'm not saying if the Celtics don't trade Rondo they're in for another 22 years of futility; I am saying that making the move will put the Celtics in a better position for the immediate future.

Losing Rondo automatically brings the Celtics from a fringe playoff team to the bottom of the barrel of the Eastern Conference. Fans have to accept that you have to be really bad in order to be really good again. Just look at the Milwaukee Bucks of the past decade.

 

Should the Celtics trade Rondo?

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Since the 2003-04 season, the Bucks have averaged a 0.434 winning percentage. That translates to about 35 wins per season. They made the playoffs four times in that span and failed to win a playoff series. Their only big move of the decade was drafting AndrewBogut with the first overall pick in the 2005 NBA draft, and we all know how that turned out.

The Celtics cannot afford to have a decade like the Bucks. Not in Boston. They have to bottom out now and capitalize on the loaded draft class of 2014. 

As strange as it sounds, trading Rondo makes their future a little brighter.

 


21/07/2013
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VIDÉO : PAUL PIERCE REMERCIE BOSTON ET LES CELTICS AVEC UN DIAPORAMA PHOTOS

 

Paul Pierce a souhaité rendre hommage à la franchise des Celtics ainsi qu’aux habitants de Boston à travers un diaporama photo publié hier sur son compte Twitter.

Paul Pierce Boston CelticsSéquence émotion hier soir sur le Twitter de Paul Pierce. Il est un peu de plus de 22h en France lorsque la gloire des Celtics, désormais joueur des Brooklyn Nets, décide de poster une série de photo en mémoire de son ancienne franchise.#THANKYOUBOSTON, le hashtag est tout trouvé pour le joueur de 35 ans originaire d’Oakland. Au final, « The Truth »postera une bonne dizaine de clichés évoquant ses meilleurs souvenirs avec la franchise et les fans de Beantown. On retrouve bien évidemment, le titre décroché en 2008, ses 20 000 points inscrits en carrière ou encore ses rapports avec les habitants de Boston.

Drafté par les C’s en 1998, Paul Pierce a passé 15 saisons dans le Massachussetts, le temps de compiler 21 points, 6 rebonds et 4 passes, de disputer 10 All-Star Game, de remporter un titre de champion en 2008 ainsi qu’un trophée de MVP des finales. Thank you, Paul.


21/07/2013
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LES CELTICS ENGAGENT BRAD STEVENS COMME COACH POUR 6 ANS

Les Boston Celtics viennent d’annoncer qu’ils avaient engagé Brad Stevens comme head coach en remplacement de Doc Rivers. Il a signé un contrat de 6 ans pour 22 millions de dollars. Vous ne connaissez sans doute pas Brad Stevens mais il a été le coach de l’excellente fac de Butler ces six dernières années. Il a 36 ans et il a été le plus jeune coach depuis Bob Knight en 1973 à emmener une équipe au Final Four en 2010.

C’est une surprise mais ce dernier est extrêmement talentueux. Il va désormais devoir faire ses preuves en NBA après les avoir faites en NCAA.

 Brad et moi partageons beaucoup de valeurs en commun. Bien qu’il soit jeune, je vois Brad comme un grand leader qui mène une équipe avec un caractère impeccable et une éthique de travail forte. Ses équipes ont toujours joué dur et exécuté les systèmes des deux côtés du terrain. Brad est un coach qui a déjà eu beaucoup de succès et je suis impatient de travailler avec lui pour remporter un 18ème titre. Danny Ainge


04/07/2013
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WOULD KEVIN GARNETT RETURN TO BOSTON CELTICS WITHOUT PAUL PIERCE?

BY 

 (FEATURED COLUMNIST) ON JUNE 8, 2013

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If Pierce leaves, so will Garnett. 
Elsa/Getty Images

Kevin Garnett has a decision to make, and that decision will likely determine in which direction the Boston Celtics choose to go this summer. Will he return for another year, or will he retire?

Surprisingly, it seems as if Garnett's eventual announcement will be the first domino to fall for the Celtics. If KG wants to come back for another season, then Boston will probably opt to bring the team back for another run.

If not, general manager Danny Ainge will almost certainly begin the rebuilding process.

You would think that the Celtics' decision on Paul Pierce would be the main factor in the path Ainge selects, as Pierce's $15 million salary for 2013-14 becomes guaranteed on July 1. If the Celtics waive him prior to that date, they would only be on the hook for $5 million. They could also trade him, in which case his contract would no longer be their problem.

As outlined by Steve Bulpett of the Boston Herald, the C's are still waiting on a decision from Garnett. Doc Rivers is undecided on his future, too, but logic dictates that he is more than likely holding off until he knows what is going on with KG.

All of this leads me to believe that, as coy as Ainge has been about everything, the Celtics are willing to take another shot with this core group as long as Garnett wants to do the same. So, if KG says he is returning, chances are you will see Boston hang on to Pierce and then try to bolster the roster through trades and free agency.

Judging from the fact that the departure of the two veterans would only open up a small amount of cap space, that may be the best way to go.

 


 

It makes sense, too, as it is hard to envision Garnett wanting to come back without Pierce in tow.

What some don't realize is that KG and Pierce have a history that dates long before their days as C's teammates. They have been friends since they were 13 years old, and Garnett has acknowledged that Pierce was one of the main reasons why he accepted the trade to the Celtics during the summer of 2007.

Throughout the six years that KG has been in Boston, Pierce has been right there with him. They have won a championship and have been to two NBA Finals together. They have experienced it all, and at 37 years of age, it doesn't seem likely that Garnett would choose to return to the C's if Pierce isn't part of the package.

Why would he? Better yet, why should he?

KG has already accomplished everything a professional basketball player could dream of, winning a title, collecting Most Valuable Player and Defensive Player of the Year awards, making countless All-NBA teams and being elected to 15 All-Star games. Other than achieving some statistical milestones, what's left?

Given the fact that he was hobbled during the 2013 playoffs, playing with a hip pointer and bone spurs in both ankles, it seems fairly safe to conclude that Garnett will not be taking the floor for what would be his 18th season unless he knows he has a shot at another ring. In order for that opportunity to present itself, Pierce will probably have to be in green come the fall.

 

Hi-res-102273809_crop_exactElsa/Getty Images

 

Of course, KG could always just tell the Celtics to trade him to a contender if Aingepulls the plug on Pierce, but do you really think that is going to happen? It's hard to imagine Garnett finishing his career anywhere else. After all, if that were even an option in his mind, don't you think he would have announced that he is returning already?

The future Hall of Famer has two years and about $24 million remaining on his deal. That's a lot of money to leave on the table. Based on that, if KG had any intention of potentially changing addresses, it probably wouldn't be taking him this long to make a decision. It's either Boston or retirement.

Garnett's contract may as well have a clause that states the pact is only valid if Pierce's presence is guaranteed. He and The Truth are like brothers.

Consider this.

KG is the same age as Tim Duncan, whose San Antonio Spurs are currently engaged in a finals battle with the Miami Heat. Manu Ginobili, a part of the Spurs' own Big Three, is 35, the same age as Pierce. Then you have Tony Parker, four years older than Rajon Rondo.

Garnett is probably looking at San Antonio and thinking, "Why can't that be us? If they can do it, we certainly can."

 

Hi-res-156812033_crop_exactDuncan's trip to the finals is almost certainly being monitored by Garnett. 
Jared Wickerham/Getty Images

 

And you know what? With the right moves in the offseason, the C's probably can. Obviously, a whole lot of things would have to go "right" this summer for that to have a chance of occurring, but one has to assume that KG is watching the Spurs with that mindset.

That's why Garnett is only going to come back if Pierce is in a Celtics uniform. San Antonio has given Boston hope, hope that, in KG's mind, is only legitimate if The Truth's leash is extended for another season.


13/06/2013
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BOSTON CELTICS : DOC RIVERS POURRAIT DÉMISSIONER

De notre partenaire BasketSession

Les Boston Celtics pourraient venir s’ajouter à la liste des équipes à la recherche d’un coach. C’est ce que semblent indiquer les dernières rumeurs NBA. Selon le Boston Globe, Doc Rivers, resté muet avec la presse local depuis la fin de la saison des C’s, aurait enfin donné signe de vie mais il aurait également indiqué qu’il ne souhaitait pas évoqué son avenir.

Gary Washburn du Globe explique que le coach aurait confié qu’il avait besoin de temps pour se remettre de ses émotions de cette année et que c’était la raison pour laquelle il n’avait pas communiqué, depuis la fin de la saison. Une situation qui pourrait être révélatrice d’un certain malaise du côté du coach, qui pourrait décider de ne pas poursuivre l’aventure avec les Celtics. Interrogé par le journaliste pour savoir s’il était encore dans un processus de décision, il a répondu qu’il "ne préférait pas en parler".

Doc Rivers ne s’est pas exprimé dans la presse depuis la fin de la saison mais il a participé aux workouts pré-draft. Il aurait déjà discuté de son avenir à plusieurs reprises avec le président des opérations basket, Danny Ainge. Il lui reste encore 3 ans de contrat à hauteur de 21 millions de dollars mais selon les rumeurs NBA, il pourrait annoncer sa démission d’ici moins d’un mois. Son futur serait fortement lié à celui de Paul Pierce et Kevin Garnett. Il a indiqué qu’il s’exprimerait publiquement très "bientôt" sur sa situation. A suivre donc…


13/06/2013
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Kevin Garnett annule les funérailles des Celtics

 

USATSI_7245740_168380191_lowresTous les voyants étaient au vert pour New York afin de conclure cette série contre Boston. Un match 5 à domicile et le retour de J.R Smith auraient dû suffire. Mais le vert reste la propriété des Celtics, qui ont réalisé un énorme match au Madison Square Garden (86-92), le meilleur de leur série.

Solidaire en défense, adroite en attaque, solide mentalement, la nation verte est en mission « remontada », si chère aux clubs espagnols en football. Pour cela, Boston peut compter sur un joueur immense : Kevin Garnett. L’intérieur a été partout, incroyable dans son placement et sa maîtrise. Avec lui, Boston peut viser grand pour le match 6, voire pour tenter l’impossible.

Les Knicks menaient 11-0…

Les remplaçants de Boston attendent toujours le premier point des Celtics pour s’asseoir. En début de match, ils ont attendu longtemps, près de 5 minutes. Car New York a fait l’entame de match parfaite avec un 11-0. Brandon Bass est utilisé à double emploi : il doit assurer le scoring et défendre sur Carmelo Anthony. L’ailier fort ne va pas réussir à faire les deux, incapable de ralentir Melo, le Knick va dominer au scoring, mais Bass va assurer la marque des C’s (22-20). Paul Pierce n’est pas encore entré dans son match, mais il trouve Garnett dans l’axe facilement.

… mais Boston s’est retrouvé

Petit à petit, les Celtics retrouvent leurs repères dans le jeu. J.R Smith, pourtant si sûr de lui quelques jours plus tôt, n’apporte rien (39-45). La confiance retrouvée des hommes verts est mise à l’épreuve avec une seconde mi-temps à jouer après 24 premières très bonnes minutes. Mais pour la première fois de la série, Boston ne va pas manquer sa seconde période. Au contraire des Knicks qui encaissent des shoots compliqués, et qui n’arrivent pas à revenir à une possession. Surtout, les New-Yorkais montrent des signes d’impatience face à la défense de Boston quand Pierce parvient à frapper deux fois à 3-pts (60-69).

Un match 6 avant LE match 7 ?

Melo a disparu des radars après son très gros premier quart temps, Smith est toujours aussi absent, Raymond Felton est trop seul, les Knicks manquent de solutions, de variété. En face, rien ne semble pouvoir atteindre Doc Rivers et ses joueurs. Smith pense pouvoir faire rêver le Madison avec deux shoots primés suite à 9 échecs d’affilée, mais ils ne sont que la réponse à ceux de Jeff Green auparavant.

Garnett, avec un mouvement dont il a le secret, enterre les espoirs de qualification pour cette fois-ci. Le pivot des Celtics poursuit sa mission reconquête avec 16 pts, 18 rebonds et 5 passes. Plus encore, son attitude, tout ce qu’il fait sur un terrain, reste inestimable pour les Celtics.

Cette victoire (86-92) peut faire naître les fantasmes les plus fous : Boston possède désormais le momentum de cette série, et avec le prochain match au TD Garden (l’ambiance y sera énorme), les champions 2008 pourraient bien s’offrir un match 7 historique.

Il ne faudra pas griller les étapes, rejouer aussi bien et avec autant d’énergie (Boston a joué avec 7 joueurs !) et enfin bien préparer ce match 6 face à des Knicks touchés et en plein doute.

 
NEW YORK / 86TirsRebonds
JoueursMinTirs3ptsLFOffDefTotPdFteIntBpCtPtsEval
C. Anthony 45:10 8/24 0/5 6/6 0 7 7 2 1 0 0 0 22 15
I. Shumpert 29:04 4/7 1/2 3/4 0 6 6 1 4 3 2 0 12 16
T. Chandler 33:43 3/5 0/0 2/2 4 7 11 2 4 3 0 0 8 22
R. Felton 44:14 10/19 0/3 1/2 3 3 6 4 1 0 3 0 21 18
P. Prigioni 12:56 1/5 1/4 0/0 0 0 0 1 1 1 0 0 3 1
J. Smith 36:21 3/14 3/8 5/6 0 4 4 2 2 0 2 0 14 6
K. Martin 13:19 1/1 0/0 0/0 0 2 2 1 5 1 0 0 2 6
J. Kidd 21:25 0/4 0/0 0/0 1 1 2 0 1 0 1 1 0 -2
S. Novak 2:50 1/1 0/0 0/0 0 0 0 0 0 0 0 0 2 2
M. Camby 0:58 1/1 0/0 0/0 1 0 1 0 0 0 0 0 2 3
Total 240 32/81 5/22 17/20 9 30 39 13 19 8 8 1 86 87
BOSTON / 92TirsRebonds
JoueursMinTirs3ptsLFOffDefTotPdFteIntBpCtPtsEval
B. Bass 40:19 6/7 0/0 5/5 1 4 5 3 3 1 2 0 17 23
J. Green 42:33 5/8 2/2 6/6 1 3 4 4 2 0 2 0 18 21
K. Garnett 38:38 5/9 0/0 6/6 2 16 18 5 4 0 5 2 16 32
A. Bradley 22:20 2/6 0/0 0/0 1 1 2 0 0 0 1 0 4 1
P. Pierce 44:14 6/19 4/8 0/0 0 4 4 3 4 1 5 0 16 6
J. Terry 35:07 6/16 5/9 0/0 0 4 4 3 2 1 0 1 17 16
T. Williams 16:49 2/5 0/3 0/0 0 4 4 2 1 0 0 0 4 7
Total 240 32/70 11/22 17/17 5 36 41 20 16 3 15 3 92 106

02/05/2013
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Résultats NBA playoffs 2013. 02.05.13

PLAYOFFS2012-2013

 

 
1er tour
Oklahoma City Thu.(1)
Houston Rockets(8)
1er tour
LA Clippers(4)
Memphis Grizzlies(5)
 
 
1er tour
San Antonio Spurs(2)
LA Lakers(7)
1er tour
Denver Nuggets(3)
Golden State Warr.(6)
 
 
 
 
1er tour
Miami Heat(1)
Milwaukee Bucks(8)
1er tour
Brooklyn Nets(4)
Chicago Bulls(5)
 
 
1er tour
New York Knicks(2)
Boston Celtics(7)
1er tour
Indiana Pacers(3)
Atlanta Hawks(6)
 
 
 

02/05/2013
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Rajon Rondo ronge son frein sur le banc des Celtics

Avec une victoire, les Boston Celtics évitent l’humiliation du sweep. Toutefois, il est indéniable de constater que l’équipe semble parfois perdue sans son meneur de jeu. Blessé au genou pour le reste de la saison,Rajon Rondo continue de soutenir ses coéquipiers tout en regrettant d’être en costume :

« J’aime la compétition, je veux jouer, expliquait t-il avant le Game 4. J’essaie juste de soutenir mes coéquipiers. C’est tout ce que je peux faire et je compte bien le faire. Je les regarde depuis quatre mois désormais, c’est dûr d’être assis à regarder mais je ne peux rien y faire. »

Rajon Rondo a subi la même blessure au genou que d’autres arrières récemment comme Ricky Rubio,Iman Schumpert ou … Derrick Rose. Si certains sont revenus difficilement, Rose n’a pas encore foulé les parquets. Le calendrier habituel annonce qu’après une opération de ce genre, le joueur devrait pour courir à nouveau entre quatre et six mois après. Rondo ne s’inquiète pas plus que ça sur sa rééducation :

 «Tout le monde est différent. Je devrais marcher actuellement et c’est le cas. Je ne peux ni sauter ni courir mais le fait de pouvoir marcher me permet d’être dans les temps dans le calendrier. »


02/05/2013
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Tableau final. PLAYOFFS NBA 2013

  1er tour Demi-finales de Conférence Finales de Conférence Finales NBA
                                     
1  Heat de Miami 1  
8  Bucks de Milwaukee 0  
     
     
4  Nets de Brooklyn 1
5  Bulls de Chicago 1  
     
Conférence Est
     
3  Pacers de l'Indiana 1  
6  Hawks d'Atlanta 0  
   
     
2  Knicks de New York 1
7  Celtics de Boston 0  
  E  
  W  
1  Thunder d'Oklahoma City 1  
8  Rockets de Houston 0  
   
     
4  Clippers de Los Angeles 2
5  Grizzlies de Memphis 0  
   
Conférence Ouest
     
3  Nuggets de Denver 1  
6  Warriors de Golden State 0  
   
     
2  Spurs de San Antonio 1
7  Lakers de Los Angeles 0  



23/04/2013
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Les Boston Celtics satisfaits de leur défense au game 1 contre les Knicks

 

Au moment d’aborder le match 2 face aux New York Knicks, les Boston Celtics vont essayer de s’appuyer sur ce qui a bien marché lors de la première rencontre.

 

Brandon Bass fait partie des joueurs qui ont la lourde tâche de défendre sur Carmelo Anthony.

Brandon Bass fait partie des joueurs qui ont la lourde tâche de défendre sur Carmelo Anthony.

Pendant les trois jours qui ont séparé les matches 1 et 2 du premier tour de playoffs à l’Est, entre Boston Celtics et New York Knicks,Doc Rivers et ses hommes ont eu tout leur temps de débriefer la défaite de samedi soir. Et c’est exactement la même chose pour leBoston Herald qui, après avoir passé en revue les aspects négatifs de la prestation des C’s lors du match 1 (le manque de jeu collectif et le faible apport de Jason Terry et du banc), est revenu sur le gros point positif. Malgré la défaite, Paul Pierce et ses coéquipiers ont très bien défendu.

« J’aime la façon dont nous avons mis la pression sur le porteur de balle. Melo va forcément mettre des gros shoots, JR c’est pareil. Notre défense par rapport à leur pourcentage de tir est exactement où nous le voulions. Le nombre de points qu’ils ont scoré est exactement où nous le voulions. De manière générale, nous sommes là où nous le voulons en défense. Si on nous dit que nous allons limiter une équipe à 40% au tir et à 85 points par match sur une série de 7 matches, je pense que nous avons nos chances », a confié PP.

Seule ombre au tableau, les C’s n’ont pas vraiment trouvé la solution pour stopper Carmelo Anthony, auteur de 36 points. D‘un autre côté, personne n’a vraiment réussi à arrêter le meilleur joueur de la NBA sur le mois d’avril sur cette période. Brandon Bass a tout de même eu un bon passage défensif sur la superstar des Knicks, notamment en fin de première mi-temps où Melo a terminé à 2 sur 11 après avoir commencé le match en inscrivant ses 4 premiers tirs.

« J’ai juste essayé de faire le meilleur travail possible sur lui. Mais nous devons faire un meilleur travail car on va avoir plusieurs joueurs qui vont s’occuper de lui. En ce qui me concerne, j’aimerais nous permettre d’avoir des possessions en plus car ils utilisent plus les trappes que nous. Mais nous devons continuer à progresser. »

Carmelo Anthony a tout de même eu besoin de prendre 29 tirs, preuve que la défense bostonienne ne lui a pas non plus mené la vie facile.

« J’aurais préféré qu’il ne prenne pas autant de tirs. En tant qu’équipe, nous devons limiter le nombre de ballons qu’il touche. Mais le ballon va toujours finir par lui arriver et nous devons construire sur ce que nous avons fait lors du dernier match. J’espère que nous arriverons à le ralentir un peu », précise Bass.

Continuer à essayer de garder les Knicks sous les 85 points et des 40% de réussite, essayer de ralentir Carmelo Anthony, plus partager la balle et espérer un meilleur apport de Jason Terry et du banc… Tous les ingrédients sont là pour que les Boston Celtics aillent chercher la victoire au Madison Square Garden. Il ne reste plus qu’à mettre tout ça en pratique.


23/04/2013
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Can Jeff Green Be Boston Celtics' Answer to LeBron James?

BY 

 (FEATURED COLUMNIST) ON APRIL 12, 2013

398 reads 

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Greg M. Cooper-USA TODAY Sports

At the 2010-11 trade deadline, Jeff Green was acquired by the Boston Celtics to plug a rapidly expanding hole every NBA defense needs taken care of.

Big men who protect the rim like mother lions guarding their offspring will always be important. But long, athletic wing defenders have become the league's next most valuable asset in preventing opposing teams from scoring—especially in the Eastern Conference, where scoring swing men are plentiful.

With Paul Pierce's lateral quickness declining by the day, the Celtics snatched Green from Oklahoma City primarily because they needed someone to defend LeBron James for heavy minutes in the postseason. (This also applies to Carmelo Anthony, Joe Johnson and Paul George.)

If the Celtics are to make any relevant noise in the playoffs, they'll need Green to do amazing individual work on the defensive end. The task of hounding the world's best players is preposterously difficult, but Boston's biggest X-factor has actually held his own this season.

According to NBA.com/Statscube, James is averaging 27.5 points per 36 minutes against the Celtics this season with Green on the bench and 26.0 when he's on the court. No real difference in the scoring numbers, but the shooting percentages really take a tumble.

With Green on the bench he's shooting 56 percent from the floor and 67 percent from behind the three-point line. With Green on the floor those numbers drop to 48 percent from the floor and 25 percent (!) on threes.

The sample size is tiny, and Green isn't necessarily assigned to cover James every single possession the two share the court, but that doesn't mean the decrease in James' efficiency should be completely dismissed. The word "contain" shouldn't be used to discuss any one person on the planet defending LeBron James, but from a physical perspective, Green does as good a job as anybody matching up with him.

Here he is making James uncomfortable on two separate isolation plays. 

 

 

Carmelo Anthony, a more realistic playoff opponent who poses nearly as many problems for Boston's defense, is averaging 26.8 points per 36 minutes on 44 percent shooting this season. But when he plays the Celtics and Green is on the court, those numbers fall to 19.5 points and 32 percent, per Statscube.

Look how Green bodies him close, preventing Anthony from firing a nightmarish jumper and forcing a drive to which he's athletic enough to contest.

 

 

 

As an aside: In his first season as an All-Star, Paul George has averaged 6.3 points per 36 minutes on 17 percent shooting while sharing the court with Jeff Green this season.

The sample sizes here are all very, very small. And as of today, there's no way to statistically quantify just how important the other four defenders Boston has on the court beside Green are in making great scorers work for their points.

But this season he's shown an ability (on the ball, at least) to make life difficult for the world's best players while they're looking to score.

According to Synergy, Anthony has score in five of 15 possessions where Green is his isolated defender. By comparison, James scored the exact same number of times, not including two possessions in which Green fouled him, out of 15 plays.

Overall Green allows 0.71 points per isolation possession, good for 65th in the league with opponent's scoring 37.9 percent of the time.

When the playoffs start, Boston is guaranteed to be matched up with either the New York KnicksIndiana PacersMiami Heat or Brooklyn Nets in the first round (the latter half of teams being drastically less likely than the former).

All of them boast a forward capable of taking over games on the offensive end, and this is where Green becomes especially important. The Celtics find themselves in relatively good hands when it comes to making life harder for players like LeBron James and Carmelo Anthony, but sustaining that stellar defense over the course of a seven game series is nearly impossible. 


12/04/2013
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