Les papys Noël de Boston enfoncent davantage les Nets
En ce jour où la star est un vieux monsieur à barbe blanche, les
vétérans des Celtics ont aussi passé une bonne journée. Après un
premier quart temps serré, Paul Pierce, Kevin Garnett
et leurs coéquipiers ont tranquillement pris les commandes de la
rencontre pour ne jamais être inquiétés et s’imposer tranquillement sur
le parquet des Nets (93-76).
Tout avait pourtant bien débuté pour les Newyorkais avec un match entamé dans de bonnes dispositions par Brook Lopez (15 pts, 8 rbds) et Joe Johnson (12 pts à 4/14) pour boucler le premier quart devant (24-22). Mais ensuite, les vieux ont sorti leur jeune. Dans le second quart, Jared Sullinger (16 pts, 7 rbds) a cumulé 7 points et 4 rebonds. Un travail dans la peinture salué par Rajon Rondo (19 pts, 6 rbds, 5 passes).
« Jared Sullinger », a répondu tout simplement le meneur à la mi-temps quand ESPN lui a demandé comment Boston a dominé le rebond dans la première partie du match.
Le banc des Celtics en force
Rentrés aux vestiaires avec 14 points d’avance (56-42), les Celtics ont poursuivi leur travail de sape dans un début de troisième quart poussif. Pendant que Brooklyn multipliait les ballons perdus, Boston faisait grimper l’écart jusqu’à 21 points (64-43) après cinq minutes jouées en deuxième mi-temps.
Joe Johnson et Andray Blatche ont alors bien tenté de réveiller leur formation, ramenant les leurs à -8 (58-66), mais les Celtics ont vite réagi. Grâce à leur banc toujours mené par un excellent Sullinger et Rondo à longue distance, ils sont repassés à 19 points d’avance à 8’34 du buzzer final. La fin des haricots pour les Nets.
Gerald Wallace partout, Deron Williams nulle part
Si Lopez, Johnson et Blatche ont souvent dû mener la charge, c’est parce que Deron Williams (10 pts, 6 passes, 4 turnovers) est loin d’avoir brillé. Bien contenu par Rajon Rondo et limité à seulement 7 tirs, le meneur des Nets n’a pas pesé sur le match. Comme souvent ces derniers temps… En panne d’énergie, il a laissé le rôle de leader à Gerald Wallace. Véritable guerrier, « Crash » a tout donné dans le dernier quart, quitte à parfois s’accrocher avec ses adversaires. L’ailier a tiré, couru, pris des fautes… Mais rien à faire, il était trop isolé au sein d’une équipe de Brooklyn en mal d’agressivité et de créativité.
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