Davis : «Comme une bête»
Glen Davis (Boston Celtics) : «Je me suis senti comme une bête. Comme si on ne pouvait pas m'arrêter. Ce n'était qu'une question de volonté et de détermination. C'est dans ce genre de match que l'on construit l'histoire. Il faut saisir ces moments-là.»
Doc Rivers (entraîneur des Boston Celtics): «Rajon Rondo et les autres titulaires sont venus me voir pour me dire de ne pas retirer les joueurs du banc (Tony Allen, Glen Davis, Nate Robinson et Rasheed Wallace). Je n'avais jamais vu un banc pareil.»
Nate Robinson (Boston Celtics) : «Notre
énergie, c'est ce qui fait notre force. Plus on apporte de l'énergie et
plus notre rendement offensif et notre défense sont meilleurs.»
Phil Jackson (entraîneur des Los Angeles Lakers) : «Notre
banc nous a fait défaut. On n'a pas obtenu la production qu'on voulait
de nos remplaçants et nos titulaires étaient fatigués.»
Pau Gasol (Los Angeles Lakers) :
«Désormais, nous savons ce que nous devons faire pour le cinquième
match. On devra être prêts physiquement et mentalement pour accomplir
notre mission.»
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