LES BOSTON CELTICS

ACTUALITE / NEWS

 

James veut défendre sur Rondo

La star des Cavaliers veut stopper le meneur des Celtics.

 

Auteur d’un match énorme lors de la deuxième victoire de Boston contre Cleveland (97-87) avec 29 points, 18 rebonds et 13 passes, Rajon Rondo a donné le tournis aux Cavs. Du coup, LeBron James souhaite défendre sur le meneur des Celtics lors du prochain match. «J’adorerais. C’est quelque chose que nous devrions peut-être explorer car Rondo domine cette série à la mène. Ça ne me poserait aucun problème de défendre sur lui tout le match», a expliqué James. Le match 5 se jouera mardi dans l’Ohio.

Rondo fait du James


Rondo fait du James
AFP

Rajon Rondo n'en finit plus d'impressionner et vient de signer une performance énorme lors du match 4 remporté par Boston contre Cleveland (97-87). En signant un triple-double, le meneur de Boston a éclipsé LeBron James, le temps d'une rencontre. L'Elu pense même à défendre sur lui pour le limiter.

LeBron James a l'habitude d'entendre le public scander "MVP, MVP, MVP" quand il est sur un parquet. En revanche, il n'est pas vraiment habitué à l'entendre quand ce n'est pas pour lui. Dimanche, il en fait l'amère expérience. Pourtant très actif durant ce match 4 de la demi-finale de Conférence Est contre Boston (22 pts, 9 rbds, 8 pds), l'Elu n'a pu qu'applaudir la superbe performance de Rajon Rondo. Quelques jours après avoir égalé le record de passes décisives sur un match de playoffs des Celtics (19), le meneur des Celtics a signé un triple-double exceptionnel* avec 29 points, 18 rebonds et 13 passes pour permettre à son équipe de revenir à deux partout.

A l'image de tous les protagonistes de la rencontre, King James ne s'est pas fait prier pour encenser son adversaire. "Sa performance a été incroyable. Il a tout fait. Rondo a définitivement été la clef de la rencontre. Ils ont peut-être l'une des équipes les plus vielles mais Rondo est l'un des plus jeunes joueurs des playoffs. Sa vitesse et son agilité leur donnent de l'air. Il crée pour les autres",  a lâché James, qui n'est pas vraiment surpris par les prouesses réalisées par le meneur des C's.  Trop souvent, on résume en effet la franchise du Massachusetts à son Big Three, composé de Paul Pierce, Kevin Garnett et Ray Allen. Depuis quelques saisons maintenant, Rondo est pourtant devenu une des pierres angulaires du système de Doc Rivers, le coach de Boston.

James pour l'arrêter ?

Drafté en 21e position en 2006, l'ancien pensionnaire de l'université de Kentucky confirme saison après saison toute l'étendue de son potentiel. A chaque exercice, il passe un palier et prend de plus en plus d'importance au sein des champions 2008. Ses stats ne cessent d'ailleurs d'augmenter (6.4 pts, 3.8 pds en 2006-2007, 11.9 pts, 8.2 pds en 2008-2009 et 13.7 pts, 9.8 pds cette saison). Aujourd'hui, c'est une vraie star de la Ligue et il a encore élevé le ton en playoffs (17.9 pts, 7.1 rbds, 11.4 pds). "Il a la main sur l'équipe. Lorsque nous avons été sacrés en 2008, il apprenait encore le métier au poste de meneur. Il tentait de comprendre comment il pouvait aider l'équipe à gagner. Maintenant, nous comptons sur lui pour gagner", lâche Doc Rivers.

Défenseur de talent, percutant en attaque, Rondo est un vrai casse-tête pour les équipes adverses qui doivent en plus trouver des solutions pour bloquer le Big Three. Les Cavs commencent d'ailleurs à s'inquiéter et pourraient faire défendre James, qui s'occupe pour l'instant de Pierce, sur Rondo de temps en temps."C'est une solution qui nous devrions peut-être explorer car Rondo domine clairement la série au poste de meneur. Personnellement, je n'ai pas de problème pour défendre sur Rondo. Si le coach me le demande, je le ferai", annonce James, bien décidé à ce que les prochains "MVP" qui descendent des tribunes soient pour lui...

*Rondo devient le troisième joueur à terminer un match en playoffs avec au moins 29 points, 18 rebonds et 13 passes après Oscar Robertson et Wilt Chamberlain.

 

 

LeBron pour stopper Rondo ?

Christophe Remise (Sport24.com)
07/05/2010 | Mise à jour : 16:42
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LeBron James pourrait être utilisé pour freiner Rajon Rondo la
nuit prochaine
LeBron James pourrait être utilisé pour freiner Rajon Rondo la nuit prochaine Crédits photo : Reuters

Rajon Rondo a renversé les Cavs à lui tout seul, ou presque, lors du match 2 (86-104). Mike Brown pourrait bien utiliser LeBron James pour le bloquer la nuit prochaine, mais a peur d'ouvrir une boite de Pandore. D'autant plus que le double MVP peine à cause de son coude.

Paul Pierce et Kevin Garnett étaient les pierres angulaires du jeu de Boston en 2008. Aujourd'hui, l'homme à tout faire des Celtics en attaque se nomme Rajon Rondo. Inarrêtable en première mi-temps lors du match 1 de la série contre les Cavaliers en demi-finales de l'Est, il avait été parfaitement bloqué en deuxième avec des défenseurs plus athlétiques que lui sur le paletot, à l'image d'Anthony Parker (19 pts et 8 pds en première mi-temps, 7 pts et 4 pds en seconde). Du coup, les Verts ont chuté après le repos (43-54 à la mi-temps, 101-93 score final). Lors du match 2 en revanche, les Cavs n'ont jamais trouvé la solution et il a régalé ses partenaires avec 19 caviars, record des Celtics en Play-offs égalé (86-104). Le tout avec 13 points en prime. Il est donc directement impliqué sur 112 des 197 points de son équipe dans la série ! Mo Williams, Anthony Parker ou Delonte West se sont relayés pour le freiner, en vain.

Bryant a défendu sur Westbrook
La solution pourrait bien se nommer LeBron James. A l'image de Kobe Bryant, utilisé par Phil Jackson pour défendre sur le bouillant Russel Westbrook au premier tour entre L.A et Oklahoma City. Reste à savoir si Mike Brown imitera le Master Zen vendredi lors du match 3. «Nous y avons pensé, admet le coach de Cleveland dans le Plain Dealer. Nous l'avons fait par le passé. Nous pouvons le refaire un peu. Mais quand les Celtics sont passés par Paul Pierce, LeBron a fait du bon boulot pour le faire travailler. Et nous ne voulons pas le mettre sur Rondo pour ouvrir la boite de Pandore et avoir un autre problème à régler ailleurs sur le parquet». «Savoir qui défend sur Rondo n'a aucune importance, tempère Paul Pierce. Nous avons le sentiment qu'il est l'un des meilleurs meneurs de la Ligue, si ce n'est le meilleur au moins en ce qui concerne l'utilisation des pick'n'rolls et le jeu en transition

Quel LeBron James au TD Garden ?
Méconnaissable lors de la première mi-temps du match 1 et de tout le match 2, à l'exception du dernier quart-temps, LeBron James doit d'abord retrouver l'intégralité de ses moyens avant de penser à Rajon Rondo. Sans nul doute gêné par sa blessure au coude droit, il n'a pas pu avoir son rendement habituel lors de ses deux dernières sorties, à la différence de la série contre Chicago (31,8 pts, 9,2 rbs, 8,2 pds). LBJ23 a toutefois rassuré son monde jeudi en ne ressentant aucune douleur à l'entraînement. «Cela ne change pas mon approche du match, assure-t-il sur ESPN. Mais quand vous avez mal, cela vous empêche de faire ce que vous avez l'habitude de faire. […] Ça fait ch… d'être blessé à ce moment de la saison. Si j'avais dû jouer les 82 matches de la saison régulière, j'aurais pu le faire. Alors être blessé maintenant...» James n'est d'ailleurs pas le seul problème pour Mike Brown actuellement.

Shaq, Jamison, Williams…
Shaquille O'Neal n'a en effet pas le rendement escompté. Globalement dominé par Joakim Noah au premier tour, le Shaq ne tourne qu'à 10 points et 4 rebonds par match contre les C's en 19,5 minutes. Pas vraiment réputé pour sa défense, Antawn Jamison laisse des boulevards à Kevin Garnett (18 pts, 10 rbs/match). Quant à Mo Williams, il a déjà démontré par le passé qu'il était plus fort en saison régulière qu'en Play-offs… Et le début de la série ne laisse pas présager de changement à ce niveau. Autant dire que les Cavs ne sont pas au mieux avant de se déplacer chez des Celtics que l'on avait déjà enterrés avant la post-season. La bonne nouvelle a failli venir de l'infirmerie de Boston pour les Cavaliers. Si le match avait eu lieu jeudi, Kevin Garnett, touché à la cheville, n'aurait pas pu jouer. Mais il devrait finalement être partant la nuit prochaine. Tout comme Kendrick Perkins (genou). Suffisant pour renverser Cleveland une nouvelle fois et conserver l'avantage du terrain ramené de l'Ohio ?

 
Rasheed Wallace, un talent fou furieux
Colosse (2,10 m) aux doigts de fée, Rasheed Wallace est une bombe à retardement. Mais Boston a besoin de lui.
Le "Sheed"
Le "Sheed"
Demain, quel « Sheed » va se présenter sur le parquet ? Celui qui, mardi, a claqué 17 points en 18 minutes à Cleveland pour battre les Cavaliers de LeBron James 86-104 ? Ou celui qui boude sur le banc des Celtics, rendant son coach fou ? Impossible à prédire. Rasheed Wallace, champion NBA en 2004, recruté par Boston cet été pour faire la différence en playoffs, est un vrai personnage. Une gueule, un regard fou. Et puis une grande gueule surtout. Un écorché vif, incapable de la fermer, qui détient tous les records de « fautes techniques » en NBA, des sanctions disciplinaires. La saison 2000-01, il en a récolté un total hallucinant de 41, soit un match sur deux ! Cette saison encore, malgré l’âge (35 ans), il a terminé sur le podium NBA ! « C’est un problème », expliquait récemment Doc Rivers, son coach. « Un problème qu’il va devoir régler seul. Je pourrais lui en parler jusqu’à en devenir bleu que ça ne changerait rien. » L’ambiance est très tendue entre les deux. Le 6 avril, alors que les Celtics menaient de 20 points contre Cleveland, ils se sont ouvertement pourris sur le bord du terrain, après une nouvelle faute technique de Wallace ! Jusqu’à présent, ses entraîneurs ont toujours composé avec lui. Parce qu’il assurait. Mais cette saison, avant ce dernier match, il était invisible. Alors Rivers lui a mis la pression : « Wallace doit jouer mieux, c’est tout. Je n’ai plus le temps de l’attendre. » Et le miracle s’est produit. « Il a été phénoménal », glissera alors son coach, qui semble avoir trouvé le bon ressort psychologique. Jusqu’à la prochaine sortie de route

 

 

GARNETT ET PERKINS INCERTAINS!

Coup dur pour les Celtics. Alors que la franchise de Boston vient de prendre l'avantage du terrain dans la série de play-offs qui l'oppose aux Cleveland Cavaliers, deux titulaires sont annoncés incertains. Kevin Garnett, MVP 2004, et Kendrick Perkins ont en effet manqué l'entraînement mercredi. Leur manager Doc Rivers laisse planer le doute quant à leur participation au match 3 vendredi soir. "Si le match avait lieu aujourd'hui, je ne pense pas que Kevin jouerait. Nous devons juste attendre" a-t-il déclaré à nba.com.

Newsweb.

Dépêche

Cleveland : LeBron James jouera blessé

© panoramic  Cleveland : LeBron James jouera blessé
Rédaction Sport365
 
vendredi 30 avril 2010 - 12h14
LeBron James, l'ailier des Cleveland Cavaliers, blessé au coude droit, va continuer à jouer les play-offs et sera bien présent face à Boston en demi-finales de la Conférence Est.  
LeBron James jouera contre les Boston Celtics. Le maître à jouer de Cleveland participera aux demi-finales de la Conférence Est malgré sa blessure au coude droit. « La bonne nouvelle c'est qu'il n'y a pas de dommage important. Les médecins m'ont assuré  que ça ne pouvait pas empirer », a déclaré le joueur selon le site officiel de la NBA. Blessé depuis plusieurs semaine par « une entorse au muscle ou au tendon » qui engourdit ses doigts, « King James » joue avec une petite protection et suit un traitement quotidien.

JVC (Rédaction Sport365.fr)

 

 

Kevin Garnett est le 3e joueur préféré des fans de NBA

29 avril 2010 à 18:40 par Guyom
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Le classement des ventes des jerseys NBA est souvent une info intéressante. Il permet de voir où se situe la cote des stars de la ligue dans le cœur des fans. La NBA vient aujourd’hui de publier le classement des meilleurs ventes de jersey et, surprise, derrière les deux monstres de la ligue, on retrouve un vieux briscard pourtant souvent décrié par les fans… adverses.

1. Kobe Bryant
2. LeBron James
3. Kevin Garnett
4. Derrick Rose
5. Dwight Howard
6. Dwyane Wade
7. Chris Paul
8. Paul Pierce
9. Kevin Durant
10. Carmelo Anthony
11. Nate Robinson
12. David Lee

13. Brandon Roy
14. Pau Gasol
15. Rajon Rondo

 

Qui pour remplacer Garnett ce soir ?

20 avril 2010 à 15:36 par Vianney Pannet
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Le Game 2 aura lieu au TD Garden cette nuit à 2h (heure de Paris) et Garnett sera chez Danny Ainge puisqu’il est non seulement interdit de terrain, mais aussi interdit de salle, suite à son coup de coude sur Quentin Richardson.

A l’occasion, de diverses interviews, les joueurs des Celtics ont tous eu leur mot à dire concernant leur préférence pour qui remplacera le « Big Ticket » dans le 5. Rajon Rondo espère que ce sera Glen Davis… ce qui n’est pas pour lui déplaire.

Le ‘Ticket Stub’ sera prêt ! Moi je veux juste les aider. Le ‘Ticket Stub’ adore enfiler ses grÔsses chaussures.

Traduction, Glen Davis veut que le remplaçant de KG soit… Glen Davis. Pourquoi parle-t-il de lui à la troisième personne en utilisant son “nouveau” surnom ? Lui seul le sait, peut être pour faire oublier le sobriquet de Big Baby… mais tout le monde s’en souvient… Big Baby…

L’autre concerné par une place dans le 5, c’est Rasheed Wallace. A titre personnel, ça ne lui fait ni chaud ni froid d’être starter ou non, il préfère parler de l’équipe.

Je suis content qu’il (KG) puisse se reposer un petit peu. Je déteste que ça se soit passé comme ça, mais c’est bien pour lui qu’il se repose.

Il a taffé dur toute la saison sans grosse pause. Pour nous tous, aller sur le terrain et gagner sans lui voudrait dire beaucoup pour la franchise. Ça voudrait dire que les mecs sont prêts à passer les obstacles et faire ce qu’ils ont à faire.

La décision viendra de toute façon du coach. Si l’on se réfère à ses dernières déclarations, il pourrait bien opter pour le Sheed puisqu’il a justement reparlé d’un match contre le Heat que Garnett avait manqué début janvier et dans lequel il avait été remplacé par Wallace.

Il (sheed) a été hallucinant dans ce match. C’est marrant, vous avez Kevin out et on a joué une fois sans Kevin, et on l’a bien fait. Ça nous met un peu en confiance mais c’est un peu différent maintenant, parce que ça va jouer à un niveau bien supérieur à celui de janvier.

Au passage, il en a aussi profité pour écorner la ligue et sa décision de suspendre KG en pas Richardson.

J’accepte le fait que Kevin soit suspendu. Si vous ne respectez pas les règles, vous devez savoir à quoi vous attendre, mais je pense vraiment qu’on ne pourra arrêter les bagarres que si on suspend aussi les provocateurs.

En ce moment, les agitateurs s’en tirent toujours bien alors que le gars qui réagit est suspendu. Le système actuel est uniquement bénéfique aux provocateurs.”

Belle ambiance en perspective une nouvelle fois ce soir, le tout sachant que Q-Rich a confirmé que selon lui, Pierce et Garnett ne sont que des “actrices”… dire qu’il reste au moins trois matches à jouer…

 

 

Les Celtics recrutent un rebondeur-contreur en vue des playoffs

Par Bruno • 13 Apr, 2010, 17:40 • Catégorie: Actualités, Nos commentaires

Tony-Gaffney-Contre-UMass

Suite au licenciement du Marcus Landry, le frère de Carl, par les Celtics, il fallait rajouter un joueur supplémentaire à leur effectif pour les playoffs. Tony Gaffney n’est pas connu, du mois … pas encore à la vue de son CV.

Sorti de l’Université de Massachussets en 2009, Gaffney avait fait le summer camp de Boston. Non concervé par Danny Ainge, il ira monnayer ses services en Israël, comme le prodige Jeremy Tyler (cliquez ici pour voir un Mix de Tyler). Blessé au pied, il est rentré à la maison et finira la saison pour Doc Rivers.

La saison passée, il tournait à 11.5 pts, 10.2 rbds & 3.8 ct (3ème de toute la NCAA). Pas mal pour un joueur qui ne mesure que 2.03m. La NBA est un tout autre univers, cependant, ce joueur ultra athlétique devrait pouvoir se trouver une place sur un banc NBA.

A noter qu’en High School, il tournait à 23 pts, 12 rbds, 7 passes &  11 ct, lors de sa saison senior.

 

 

 Boston : Doc Rivers fait le tri
Rédaction Sport365
 
mardi 06 avril 2010 - 12h43
Doc Rivers, l'entraîneur des Celtics de Boston, a annoncé que Marquis Daniels et Nate Robinson n'entraient plus dans ses plans.  

Une vraie hiérarchie semble s'être installée à Boston. En effet, le coach Doc Rivers a annoncé que Marquis Daniels et Nate Robinson n'entraient plus dans ses plans. Jusqu'à la fin de la saison, il a décidé de s'appuyer sur Tony Allen, Rasheed Wallace, Shelden Williams, Michael Finley et Glen Davis pour jouer les rôles de remplaçants. « Leur rôle désormais est de bosser à l'entraînement et d'attendre le moment où j'aurai besoin d'eux, a expliqué Doc Rivers au sujet de ses deux bannis. Si un jour, quelqu'un a des fautes ou n'est pas bon, je ferai appel à eux. Mais aujourd'hui, ils ne font plus partie de la rotation. Mais ça ne veut pas dire qu'ils ne reviendront pas. »

Rivers et Rasheed Wallace font enfin la paix

Par Bruno • 6 Apr, 2010, 11:30 • Catégorie: Actualités

Rasheed-Wallace-BOston-Celtics

Durant la victoire de dimanche après midi de Boston face aux Cavs (cliquez ici pour lire et voir le résumé du match), se sont clairement crié dessus. L’incident est désormais clôt.

« Nous avons discuté de cette situation. Nous allons essayé de nous contrôler, car même si on pense avoir raison, à la fin on a tort, car c’est toute l’équipe qui est touchée. Rasheed est très émotif, et cela ne changera pas. Je peux l’accepter. Cela peut arriver, et cela ne sera pas la dernière fois. Heureusement, cela sera avec Rasheed »

Cela s’est passé après une faute sifflée contre Wallace. L’intérieur vétéran des Celtics n’a pas aimé la décision du corps arbitral qui tend toujours à protéger LeBron James. Le coach à demandé à son joueur de se calmer … cela a eu plutôt l’effet inverse.

« Tout va bien entre Rasheed et moi. Tout se passe bien avec ses coéquipiers aussi, mais, quand vous avez à faire à une pareille situation, tout ne se passe pas toujours bien avec n’importe qui. Je peux comprendre ça. J’ai été à cette place par le passé ».

Les journalistes ont demandé au technicien s’il avait demandé à son joueur de s’excuser. Il a clairement répondu par la négative. Lui aussi a été joueur, il sait comment ses joueurs vivent de tels évènements, et connait le caractère bien trempé de son sixième homme de luxe.

« Non, nous avons eu une bonne conversation. Il s’excuse toujours. Il m’a dit ”Il faut que je me contrôle” donc je ne sais pas en fait si c’est une excuse. Mais je n’en cherchait pas une ».

La place de Wallace sur le banc de coach Rivers est primordiale. Peut d’équipe (mise à part les Lakers avec Lamar Odom) peut se targuer d’avoir une telle arme qui ne commence pas le match. Les playoffs arrivent à grands pas, et avec Sheed, déjà Champion en 2004 avec les Pistons, en relais de Kevin Garnett, il faudra faire attention aux Celtics.

Nous tenons à remercier Dorian pour nous avoir communiqué cette info.

Propos recueillis par Steve Bulpett du Boston Herald.

Rondo rentre dans l'histoire des Celtics

rondo-cs.jpg(Photo by Brian Babineau/NBAE via Getty Images)

Grâce à ses 10 passes décisives cette nuit face aux Rockets, Rajon Rondo est devenu le meilleur passeur de l'histoire des Boston Celtics sur une saison. Avec 724 passes décisives, il bat le record de Bob Cousy, auteur de 715 passes en 1960. Rondo est le quatrième meilleur passeur de la ligue cette année avec une moyenne de 9.8 pds/match.

Sans Pierce face au Thunder ?

Le capitaine des Boston Celtics Paul Pierce pourrait ne pas prendre part au match face à l'Oklahoma City Thunder dans la nuit de mercredi à jeudi. Il souffre d'un traumatisme du plexus brachial à la même épaule qu'il s'est tordu mardi lors de la défaite face à San Antonio. Ce qui l'a écarté de l'entraînement de mercredi.

 

Ils participeront à la fête

A l'Est, Boston, vainqueur de Denver (113-99) et Atlanta, qui s'est imposé sur le fil face au Magic (86-84), ont composté leur billet pour les play-offs.
Si Rajon Rondo a fait le show, Paul Pierce s'est lui montré très adroit pour contribuer à la victoire de Boston sur Denver.(REUT)
Si Rajon Rondo a fait le show, Paul Pierce s'est lui montré très adroit pour contribuer à la victoire de Boston sur Denver.(REUT)

Mission accomplie pour Boston. Un triple double pour Rajon Rondo (11 points, 11 rebonds, 15 passes), un double double pour Kevin Garnett (20 points, 10 rebonds, 5 passes) et 27 points de Paul Pierce, meilleur marqueur de son équipe, ont permis aux Celtics d'assurer leur présence en play-offs, face à Denver (113-99). En face, Carmelo Anthony a fait ce qu'il a pu. Comme toujours. Mais ses 32 points n'auront pas pesé bien lourd dans la balance. Johan Petro a disputé 18 minutes du match (2 points et 5 rebonds). Devant dès la fin du premier quart-temps (30-27), Boston était déjà à l'abri dès la pause (61-51). «Notre équipe a montré un nouveau visage, s'est réjoui Doc Rivers, l'entraîneur des Celtics. Pas seulement Pierce. Défensivement, nous étions tellement mieux, tellement plus actifs».

Pierce et Gasol à l'honneur

Paul Pierce (Boston Celtics) et Pau Gasol (Los Angeles Lakers) ont été nommés joueurs de la semaine en NBA.

A l'Est, Paul Pierce a dominé le scrutin avec 24,8 points de moyenne (63% au tir) en 26 minutes par match. Boston a gagné ses quatre rencontres.

De l'autre côté des Etats-Unis, Pau Gasol a scoré lui aussi 24,8 points par match. L'Espagnol a fait encore plus fort au niveau de l'adresse (68,5%). Ajoutez à cela 11,8 rebonds et une semaine parfaite pour les Lakers (4-0).

L’ailier rookie Marcus Landry a été envoyé en D-League aux Maine Red Claws.!

 

Finley signe avec les Bolton Celtics

Samedi 6 mars 2010 - 10:08


Le meneur de jeu Michael Finley, libre de tout contrat, a signé vendredi avec les Boston Celtics à la veille de son 37e anniversaire.

Finley avait été libéré en début de semaine à sa demande par les San Antonio Spurs, avec lesquels il n'avait joué que 25 matches cette saison en raison d'une foulure à la cheville.

Pour le restant de la saison, il sera payé sur la base du salaire annuel de 1,1 million de dollars (environ 807.000 euros), soit le salaire minimum en NBA pour un joueur de son expérience.

Finley proche de Boston

S'il signe aux Boston Celtics, Michael Finley connaîtra son 4e club après Phoenix, Dallas et San Antonio. (L'Equipe)
S'il signe aux Boston Celtics, Michael Finley connaîtra son 4e club après Phoenix, Dallas et San Antonio. (L'Equipe)

De l'Ouest à l'Est en une semaine ? Libéré lundi par San Antonio, le vétéran Michael Finley, qui fêtera ses 37 ans samedi, a trouvé un accord avec les Boston Celtics. Il devrait signer pour la franchise du Massachussets jusqu'au terme de la saison.

«Il y en avait d'autres (clubs) mais ils (les Celtics) se sont montrés les plus agressifs et les plus sérieux», a déclaré l'agent du joueur, dans le Boston Herald, qui a ajouté que Finley «a été très sérieusement considéré par eux il y a deux ans quand il a resigné avec San Antonio». Parmi les raisons qui motivent le choix de l'arrière-ailier (2,01 m), il y a Doc Rivers. Le coach de Boston est aussi originaire de Chicago. Tous deux ont fréquenté le même lycée, Proviso East. Finley (3,7 pts de moyenne pour 16 minutes de jeu en moyenne en 2009-2010) devrait rallier les champions 2008 ce week-end.

 

 

Michael Finley: «Je suis bientôt un celtic '

 
ESPNBoston.com

Vétéran swingman Michael Finley confirmé à ESPN.com jeudi qu'il a conclu un accord pour rejoindre le Boston Celtics.

Finley
Finley

«C'est officiel maintenant", dit ESPN.com Finley après avoir donné son accord verbalement à Boston. «Je suis bientôt un celtique."

Finley, qui aura 37 ans samedi, a demandé et reçu un rachat des San Antonio Spurs plus tôt cette semaine, le libérant de signer avec un prétendant au titre tout en maintenant son admissibilité des séries éliminatoires.

Il recevra une part proportionnelle des miniumum de l'ancien combattant (1,1 millions) et fera ses débuts dimanche contre les Wizards, le Boston Globe.

Statistiques Finley ont plongé de façon spectaculaire cette saison (3,7 points, 1.5 rebonds, 0.8 passes plus de 15,8 minutes par match), mais il peut se prévaloir de 111 matchs d'expérience en séries éliminatoires, remportant le championnat avec les Spurs en 2007.

Pour sa carrière, Finley est à 37,4 3% shooter point (mais avec 31,7 pour cent au-delà de l'arc cette saison), et il a le potentiel pour donner les Celtics à une autre menace de tirs après le départ d' Eddie House à la date limite des échanges.

L'an dernier en séries éliminatoires, Finley en moyenne de 8 points, 3 rebonds et 1 passe par match en cinq matchs avec les Spurs. Pour sa carrière, les numéros de Spike à 13,6 points, 4 rebonds et 2 rebonds par match en séries éliminatoires.

Deux fois All-Star, Finley se trouvera derrière Paul Pierce et Marquis Daniels à la position d'ailier.

Dans une saison où les deux Pierce et Daniels ont été harcelé par les blessures, Finley prévoit également une assurance au cas où !.

Celtics-président des opérations basketball Danny Ainge a confirmé son intérêt pour Finley mercredi dans une interview à la station de radio sportive WEEI à Boston, en disant qu'il serait un autre tireur du banc qui pourrait remplacé  Pierce ou Allen, et que le fait que l'option supplémentaire pourrait être utile pour l'entraîneur Doc Rivers.

 


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BALL'N : les origines

BALL'N a été créé en 1991 à Chicago par Rodney Jeter. La marque a commencé par commercialiser des jeux de maillots pour les équipes locales, puis très rapidement des vêtements de compression et de protection.

C'est pour la producton de ces éléments de protection que BALL'N a commencé à collaborer avec la société D3O.

C'est ce partenariat avec D3O, ainsi que l'engagement de Ron Artest, depuis devenu Metta WorldPeace, qui ont permis à la marque de lancer en 2011 sa première ligne de chaussures de basket, sur l'ensemble des USA. 6 modèles sont pour le moment prévus, dans tous les coloris NBA classiques. Disponibles aux USA chez tous les grands dsitributeurs (Foot Action, Foot Locker...), ces produits sont disponibles en France chez les meilleurs spécialistes basketball.
Objectifs

Depuis 1991, BALL'N propose aux joueurs de basket des produits de qualité, stylés et abordables, utlisables sur le terrain et en dehors. Et toujours "the way the game is played"
Une dimension humaine et sociale

BALL'N sponsorise depuis plusieurs années un des plus gros tournois street de New York, le Tri State Classic

Un des objectifs majeurs de Rodney Jeter au lancement de la marque était de rendre une partie de son succès à la communauté de Chicago. C'est toujours le cas lors des camps, tournois et programmes sociaux qui y sont organisés.

07/10/2013
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Boston Celtics : Avery Bradley débutera à la mène

Basketball

De BasketSession

Avec Rajon Rondo out jusqu’au mois de décembre, Brad Stevens et les Boston Celtics vont devoir trouver de nouvelles solutions à la mène. A priori, l’ancien coach de Butler a déjà fait son choix. Félicitation, Avery Bradley, vous êtes promu au poste de meneur de jeu.

« Je pense qu’il n’y a aucun doute sur le fait qu’Avery a les capacités nécessaires pour jouer meneur de jeu. Il défend très bien. C’est un super athlète. Je pense qu’il progresse, il devient un meilleur joueur et il est très excité à l’idée de relever le défi », raconte Brad Stevens au Boston Herald.

Effectivement, défensivement parlant, Avery Bradley sera un poison pour le meneur scoreur adverse. Ses capacités athlétiques, sa vivacité font de lui un des meilleurs stoppeur de a ligue. Il a d’ailleurs été élu dans le deuxième meilleur cinq défensif la saison passée. En revanche, le natif de Tacoma n’est pas un grand attaquant, loin de là. La gestion des Celtics risque donc d’en être fortement affectée et maintenant que Paul Pierce est parti, on se demande bien qui va apporter de la créativité en attaque à Boston en l’absence de Rondo… Brad Stevens se veut tout de même optimiste :

« Je comprends que les gens estiment qu’il est en difficulté en attaque à cause des statistiques (9 points, 40% aux tirs) mais on ne peut pas se fier uniquement aux chiffres. »

« On espère qu’il pourra devenir le meilleur meneur de jeu possible, même au retour de Rondo car ce dernier ne jouera pas 48 minutes par match. »

La saison des Celtics sera longue, très longue.


28/09/2013
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CELTICS’ KELLY OLYNYK HAS MIND FOR BASKETBALL

 

 

Kelly Olynyk displayed a variety of skills in summer league, averaging 18 points and 7.8 rebounds for the Celtics.

JOHN RAOUX/ASSOCIATED PRESS

Kelly Olynyk displayed a variety of skills in summer league, averaging 18 points and 7.8 rebounds for the Celtics.

Tennis balls whiz at Kelly Olynyk, again and again. Each bears a number or letter, cues for a choreographed movement. There’s no time to think, only to catch and react in the drill that would help change everything. And that’s the point: don’t think.

 

“A high basketball IQ.” That’s the term basketball types often use to describe Kelly Olynyk, a 7-footer out of Gonzaga whom the Celtics acquired in the first round of June’s NBA draft.

His background checks out: an Academic All-American who graduated with an accounting degree in 3½ years; who is one year from earning his MBA; who has that rare affinity for numbers and equations because of their beautiful simplicity.

 

“You’re either right or wrong,” said Olynyk, whose Orlando Summer League performance (18 points, 7.8 rebounds per game) made him an intriguing story line heading into a rebuilding season.

His brain is one with gears always in churn, gauging possibilities, searching for answers, as it has for years.

To wit:

When he was 7, he decided he’d make his living playing basketball, but his parents said to keep a backup plan, and he told them, that, OK, he’d become a farmer if Plan A failed.

He decided he’d become a farmer because growing up in Toronto, he saw the homeless, the men and women invisible to daily passersby but not yet to him.

And he believed that if he tilled the soil and planted seed, he could grow them food.

“I just felt, I don’t know, I just wanted to help people,” he said. “I was a little kid.”

A problem, a solution — at least in part. But this notion of helping, which became a central theme to his identity as a player, was further reinforced under his father’s basketball tutelage.

Olynyk played point guard on the youth team, and Ken Olynyk, a 6-6 former college basketball forward long involved in the Canadian national team, had a rule that the point guard on his team could pass, and only pass, but could not score, period.

“Your job is to get the ball to other people and make other people better,” the elder Olynyk preached.

And when Olynyk was in high school, where his father again coached him and Olynyk again played the point, that rule still held: Help yourself and the team by helping others first.

Then Olynyk grew . . . and grew, from 6-3 to 6-10 in one year, and to 7 feet soon after.

No longer could he play point guard and focus on helping others. He had to focus on helping himself, which meant, in no small part, overcoming himself — and his brilliant mind.

 

Mental approach

 

After playing for the Canadian junior men’s national team, Olynyk arrived at Gonzaga as promising and skilled, with strong opinions about the game and how he fit into it.

“He wanted to hang out on the 3-point line and be Dirk Nowitzki,” said Gonzaga assistant Tommy Lloyd. “But his 3-point percentage wasn’t really good, and he was turning the ball over at a high rate because he wasn’t strong enough to drive and handle contact and absorb contact.”

Plus, there were simply better and more experienced frontline players ahead of him: Robert Sacre (7 feet), Sam Dower (6-9), and Elias Harris (6-8).

“There were a lot of minutes to split between a lot of good guys and Kelly,” said Gonzaga coach Mark Few.

Given the logjam, and his need to develop, Olynyk, coming off a sophomore year averaging 5.8 points and 13.5 minutes, decided to redshirt, a highly unusual mid-career move for a college player.

“It’s tough to make that sacrifice,” he said, “but when you think about it, you need to make sacrifices in order to make gains in life.”

The move became the turning point in his college career.

First, by not playing, he couldn’t use postgame stat sheets to measure improvement. He didn’t have to worry about being ready for games or resting. He could just work for about 18 months.

But Olynyk’s mind still functioned as if he were a point guard, as he had been for most of his life. It hadn’t caught up to his new, 7-foot frame. “I knew what I wanted to do and where I wanted to go,” he said, “but I just couldn’t get there physically.”

The goal then became, beyond making him stronger through traditional and non-traditional weightlifting sessions, which packed on about 15 pounds, to slow down Olynyk’s busy mind.

That’s where the tennis balls came in — an unusual drill that focused on neurological training.

Every day, for the better part of a half-hour, Travis Knight, Gonzaga’s strength and conditioning coach, would from close range toss Olynyk tennis balls bearing a number or letter that represented a complicated movement, maybe a stepback jumper from the left side, or a shot-fake, dribble, then shot from the right. Or something else.

“We had to get to a point where he didn’t have to think about all these movements,” said Knight, a former infielder for the Gonzaga baseball team who believes strongly in hand-eye coordination.

The drill, Knight said, helped train Olynyk’s brain to function more on a subconscious level.

“It helped me, furthermore, to be able to read plays and slow the game down,” Olynyk said. “And when I came in, I could see plays happening, see plays developing, and really slow down and take a step back and really be integrated into the play rather than having everything be a whirlwind.”

But it wasn’t a drill you’d be likely to find anywhere else.

“He was like the Frankenstein monster, and I was like the mad scientist, and we were just experimenting,” Knight said.

Another aspect that improved his game that offseason was that in several practices, the rule was that he had to stay in the paint and only the paint, where he battled Sacre, Harris, and Dower, players with different styles.

Sacre, who plays for the Los Angeles Lakers, was all muscle at 260 pounds, forcing Olynyk to use pump fakes and footwork to score. Harris was a bit undersized, but athletic and strong, combating Olynyk’s size with his athleticism. Dower, at 6-9, had the wingspan of a 7-footer, presenting yet another challenge. “And you had to react differently to every guy,” Olynyk said.

Yet another factor in his mental development came in games, when the coaches incorporated Olynyk into a graduate assistant role, having him chart various stats, such as rebounds, or focusing on a handful of other elements.

At halftime, they asked what he saw, how he felt the team was executing, what changes he suggested. He often shared their frustrations if a game plan wasn’t being followed.

“It helped me see what they wanted in certain situations,” Olynyk said, “and what they were saying and what they were preaching and asking for and how you could accomplish that.”

Few praises Olynyk, calling him intelligent, a quick learner with a creative side to his brain who’s always pondering different methods, moves or ways to attack.

“Sometimes that can be a strength of his, and sometimes that can be a weakness, too,” Few said.

Olynyk conceded that point, noting that it worked against him sometimes in games.

“You’re thinking, ‘Oh, I thought this guy was going to do this because that’s what I would’ve done because it was the smart thing to do,’ but sometimes people wouldn’t do that,” he said.

And, overall, Few said it was tough changing Olynyk’s mind about the player he thought he was.

“Once he gets going on his, ‘This is my interpretation . . . ’ it’s like, ‘No, Kelly, it’s not about your interpretation. It’s about our interpretation,’ ” Few said. “That’s a little bit about what held him back earlier, in his first two years.

“He was like, ‘Well, this is my interpretation of what I think my game should be — a 3-point shooter.’

“It’s like, ‘No, we can utilize that, but at 7 feet tall, with your size, we’re going to have to mix in, at least 50 percent of some things inside the paint.’ ”

But once his mind and body began functioning in tandem, once he became more comfortable reading the game and using size and mobility to create mismatches, Olynyk blossomed.

Gonzaga went 32-3 and he became a consensus All-American and the West Coast Conference Player of the Year, averaging 17.8 points, 7.3 rebounds, 1.1 blocks, and 26.4 minutes. He was third in the nation in field goal shooting (62.9 percent).

“He’s in a way better place now, as far as, he understands that he can’t let that creative side be more dominant than the intellectual side,” Few said.

Just as Olynyk believes that there is a right and a wrong to equations, so too does he believe that there is a right and wrong to basketball — and it’s all in adapting.

“It’s ever-changing and you have to be able to adapt to your surroundings and your skill set and your competition and what will work and what won’t,” Olynyk said.

“It’s basically the most adapted person wins.”

So that’s what he did — adapt and change.

Steve Konchalski, a longtime fixture with the Canadian national team, very much noticed the difference.

“Back four years ago, he was too content to stand out at the 3-point line,” Konchalski said.

Then, after watching Olynyk play summer league, Konchalski said, “He played inside, outside, he got to the boards, he had a couple little tricky moves inside, scoop shots, that sort of thing, which you don’t usually see 7-footers do.”

 

Team player

 

When Celtics president of basketball operations Danny Ainge introduced Olynyk a few days after the team traded up three spots in the draft to acquire him with the 13th overall pick, Ainge described Olynyk as skilled, smart, calm. Ainge said he sees Olynyk weighing 260 pounds (20 more than he does now) and as a power forward who can play center occasionally.

“I don’t see Kelly as a go-to guy in the NBA,” Ainge added, “but a guy that complements the rest of the guys on the team and makes them all better.”

Not a “go-to” player? Some took that as a jab. Olynyk said he hasn’t thought much about it.

“We’ll see what happens,” he said. “I just need to make sure I maximize my potential.”

A safe answer, but the term “complementary player” carries a negative connotation in the US more than elsewhere, and it’s worth noting that Olynyk’s game is international, first and foremost.

“The foreign player’s idea of a good basketball player was someone who could get 15 points, 15 rebounds, and 15 assists in a game,” said his father, Ken, who played four years at Simon Fraser University in Vancouver and is the athletic director at Thompson Rivers University in British Columbia.

“So, that’s the format that Kelly always tried to emulate.”

Said Olynyk, “It’s easier to score 30 points than it is to do that,” he said, referencing the above numbers in three different categories.

“Playing internationally and seeing how valuable that is to another team is something that every kid should strive for,” he added, “but it’s definitely not portrayed like that in the media or in people’s eyes today, especially [in the United States].”

No, not in this “SportsCenter,” highlight-driven culture, filled with slam dunks and ankle-breaking crossovers.

But he’s at peace with not being a go-to guy, anyway.

“What you want is a whole that is greater than the sum of the parts,” Olynyk said, quoting Aristotle.

Or, as Few said, “I can’t overstate just how big of a team guy he is.”

Olynyk credits his father for that mind-set.

“One of the things he always told me when I was younger, good players can score, but great players can make the people around them better,” Olynyk said.

That was especially true in football, which Olynyk played in high school, quarterbacking the South Kamloops Titans.

Not only was Olynyk fascinated with the fact that every play could be a game-breaker, but also that everyone had to work as one on every play for that play to have any success.

“Obviously, you can’t throw the ball and catch the ball,” he said. “You’ve got to put your teammates in a position to succeed, and I think that’s something you have to do as a point guard as well — or anybody on a basketball floor.”

The Celtics signed Olynyk to his rookie deal in the midst of his summer league dominance, and new coach Brad Stevens said it should be Olynyk’s goal to make the All-Rookie Team.

Olynyk will wear No. 41 with the Celtics, just like Nowitzki wears with Dallas, but Olynyk swears that he picked that number because there weren’t many options with the Celtics, who have retired many through their rich history.

Nevertheless, it was Nowitzki to whom many Celtics fans and a few others compared Olynyk after watching summer league. And when asked for his impressions of Olynyk, Celtics forward Shavlik Randolph jokingly replied, “Oh, you mean Dirk? He’s very impressive.”

They share a fair-colored mane and a scruffy goatee that comforts their chin, but the comparisons can wait. Olynyk’s mind is on overdrive as it is, gears churning, gauging possibilities, searching for answers, adapting, always adapting, to this ever-changing game.


21/07/2013
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BOSTON CELTICS SHOULD TRADE RAJON RONDO SOONER RATHER THAN LATER

BY 

 (CONTRIBUTOR) ON JULY 20, 2013

3,283 reads 

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Jared Wickerham/Getty Images

Trade your coach of nine seasons to the Los Angeles Clippers? Check.

Trade your franchise player? Check.

Trade the heart and soul of the team's defense in the same trade? Check.

Hire a 36-year-old coach with no formerNBA coaching experience? Check.

The Boston Celtics are rebuilding! General manager Danny Ainge said goodbye to the "Big Three" era and seems ready to start a new era. It's beyond clear that the team, as constructed, cannot contend for a championship. 

Another thing is clear: This team also might not be bad enough to secure a top pick in the draft. This is when teams are faced with difficult decisions. They have young guys in Kelly Olynyk, Jared Sullinger, Avery Bradley, Jeff Green and Marshon Brooks. They also have the (seemingly untradeable) three years and $30 million left on Gerald Wallace's contract.

How can the team improve from the roster they currently have and arrive at a new era sooner rather than later?

Trade Rajon Rondo.

I'm aware he's averaged double-digit assists each of the past three seasons. I'm aware he led the league in triple-doubles over the past two seasons (he has 11 and no other player has more than five). I'm also aware he's coming off an ACL injury, but how else can you dive into a new era if your Ainge?

 

Hi-res-172884194_crop_exactDarren McCollester/Getty Images

 

The team as constructed is probably set to get a low lottery pick or a low playoff seed. When you're rebuilding, that's the worst position to be in—NBA purgatory, if you will. Trading one of their young assets will not get you a game-changer. Trading your 27-year-old point guard is your best bet.

New coach Brad Stevens, however, does seem very committed to Rondo. Per Chris Forsberg of ESPNBoston.com:

"We spent quite a bit of time just alone together talking, just learning more about him. I just enjoyed spending time with him and asking him questions, not only about his time with the Celtics but time before. I found him to be really, really intelligent, really, really insightful. I thought he had great ideas. I'm really looking forward to working with him."

That's all well and dandy, but the city of Boston is about championships. Before Pierce, Garnett and Ray Allen helped bring them the 2008 NBA title, the team had not held the Larry O'Brien trophy since 1986. I'm not saying if the Celtics don't trade Rondo they're in for another 22 years of futility; I am saying that making the move will put the Celtics in a better position for the immediate future.

Losing Rondo automatically brings the Celtics from a fringe playoff team to the bottom of the barrel of the Eastern Conference. Fans have to accept that you have to be really bad in order to be really good again. Just look at the Milwaukee Bucks of the past decade.

 

Should the Celtics trade Rondo?

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Since the 2003-04 season, the Bucks have averaged a 0.434 winning percentage. That translates to about 35 wins per season. They made the playoffs four times in that span and failed to win a playoff series. Their only big move of the decade was drafting AndrewBogut with the first overall pick in the 2005 NBA draft, and we all know how that turned out.

The Celtics cannot afford to have a decade like the Bucks. Not in Boston. They have to bottom out now and capitalize on the loaded draft class of 2014. 

As strange as it sounds, trading Rondo makes their future a little brighter.

 


21/07/2013
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VIDÉO : PAUL PIERCE REMERCIE BOSTON ET LES CELTICS AVEC UN DIAPORAMA PHOTOS

 

Paul Pierce a souhaité rendre hommage à la franchise des Celtics ainsi qu’aux habitants de Boston à travers un diaporama photo publié hier sur son compte Twitter.

Paul Pierce Boston CelticsSéquence émotion hier soir sur le Twitter de Paul Pierce. Il est un peu de plus de 22h en France lorsque la gloire des Celtics, désormais joueur des Brooklyn Nets, décide de poster une série de photo en mémoire de son ancienne franchise.#THANKYOUBOSTON, le hashtag est tout trouvé pour le joueur de 35 ans originaire d’Oakland. Au final, « The Truth »postera une bonne dizaine de clichés évoquant ses meilleurs souvenirs avec la franchise et les fans de Beantown. On retrouve bien évidemment, le titre décroché en 2008, ses 20 000 points inscrits en carrière ou encore ses rapports avec les habitants de Boston.

Drafté par les C’s en 1998, Paul Pierce a passé 15 saisons dans le Massachussetts, le temps de compiler 21 points, 6 rebonds et 4 passes, de disputer 10 All-Star Game, de remporter un titre de champion en 2008 ainsi qu’un trophée de MVP des finales. Thank you, Paul.


21/07/2013
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LES CELTICS ENGAGENT BRAD STEVENS COMME COACH POUR 6 ANS

Les Boston Celtics viennent d’annoncer qu’ils avaient engagé Brad Stevens comme head coach en remplacement de Doc Rivers. Il a signé un contrat de 6 ans pour 22 millions de dollars. Vous ne connaissez sans doute pas Brad Stevens mais il a été le coach de l’excellente fac de Butler ces six dernières années. Il a 36 ans et il a été le plus jeune coach depuis Bob Knight en 1973 à emmener une équipe au Final Four en 2010.

C’est une surprise mais ce dernier est extrêmement talentueux. Il va désormais devoir faire ses preuves en NBA après les avoir faites en NCAA.

 Brad et moi partageons beaucoup de valeurs en commun. Bien qu’il soit jeune, je vois Brad comme un grand leader qui mène une équipe avec un caractère impeccable et une éthique de travail forte. Ses équipes ont toujours joué dur et exécuté les systèmes des deux côtés du terrain. Brad est un coach qui a déjà eu beaucoup de succès et je suis impatient de travailler avec lui pour remporter un 18ème titre. Danny Ainge


04/07/2013
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WOULD KEVIN GARNETT RETURN TO BOSTON CELTICS WITHOUT PAUL PIERCE?

BY 

 (FEATURED COLUMNIST) ON JUNE 8, 2013

10,637 reads 

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If Pierce leaves, so will Garnett. 
Elsa/Getty Images

Kevin Garnett has a decision to make, and that decision will likely determine in which direction the Boston Celtics choose to go this summer. Will he return for another year, or will he retire?

Surprisingly, it seems as if Garnett's eventual announcement will be the first domino to fall for the Celtics. If KG wants to come back for another season, then Boston will probably opt to bring the team back for another run.

If not, general manager Danny Ainge will almost certainly begin the rebuilding process.

You would think that the Celtics' decision on Paul Pierce would be the main factor in the path Ainge selects, as Pierce's $15 million salary for 2013-14 becomes guaranteed on July 1. If the Celtics waive him prior to that date, they would only be on the hook for $5 million. They could also trade him, in which case his contract would no longer be their problem.

As outlined by Steve Bulpett of the Boston Herald, the C's are still waiting on a decision from Garnett. Doc Rivers is undecided on his future, too, but logic dictates that he is more than likely holding off until he knows what is going on with KG.

All of this leads me to believe that, as coy as Ainge has been about everything, the Celtics are willing to take another shot with this core group as long as Garnett wants to do the same. So, if KG says he is returning, chances are you will see Boston hang on to Pierce and then try to bolster the roster through trades and free agency.

Judging from the fact that the departure of the two veterans would only open up a small amount of cap space, that may be the best way to go.

 


 

It makes sense, too, as it is hard to envision Garnett wanting to come back without Pierce in tow.

What some don't realize is that KG and Pierce have a history that dates long before their days as C's teammates. They have been friends since they were 13 years old, and Garnett has acknowledged that Pierce was one of the main reasons why he accepted the trade to the Celtics during the summer of 2007.

Throughout the six years that KG has been in Boston, Pierce has been right there with him. They have won a championship and have been to two NBA Finals together. They have experienced it all, and at 37 years of age, it doesn't seem likely that Garnett would choose to return to the C's if Pierce isn't part of the package.

Why would he? Better yet, why should he?

KG has already accomplished everything a professional basketball player could dream of, winning a title, collecting Most Valuable Player and Defensive Player of the Year awards, making countless All-NBA teams and being elected to 15 All-Star games. Other than achieving some statistical milestones, what's left?

Given the fact that he was hobbled during the 2013 playoffs, playing with a hip pointer and bone spurs in both ankles, it seems fairly safe to conclude that Garnett will not be taking the floor for what would be his 18th season unless he knows he has a shot at another ring. In order for that opportunity to present itself, Pierce will probably have to be in green come the fall.

 

Hi-res-102273809_crop_exactElsa/Getty Images

 

Of course, KG could always just tell the Celtics to trade him to a contender if Aingepulls the plug on Pierce, but do you really think that is going to happen? It's hard to imagine Garnett finishing his career anywhere else. After all, if that were even an option in his mind, don't you think he would have announced that he is returning already?

The future Hall of Famer has two years and about $24 million remaining on his deal. That's a lot of money to leave on the table. Based on that, if KG had any intention of potentially changing addresses, it probably wouldn't be taking him this long to make a decision. It's either Boston or retirement.

Garnett's contract may as well have a clause that states the pact is only valid if Pierce's presence is guaranteed. He and The Truth are like brothers.

Consider this.

KG is the same age as Tim Duncan, whose San Antonio Spurs are currently engaged in a finals battle with the Miami Heat. Manu Ginobili, a part of the Spurs' own Big Three, is 35, the same age as Pierce. Then you have Tony Parker, four years older than Rajon Rondo.

Garnett is probably looking at San Antonio and thinking, "Why can't that be us? If they can do it, we certainly can."

 

Hi-res-156812033_crop_exactDuncan's trip to the finals is almost certainly being monitored by Garnett. 
Jared Wickerham/Getty Images

 

And you know what? With the right moves in the offseason, the C's probably can. Obviously, a whole lot of things would have to go "right" this summer for that to have a chance of occurring, but one has to assume that KG is watching the Spurs with that mindset.

That's why Garnett is only going to come back if Pierce is in a Celtics uniform. San Antonio has given Boston hope, hope that, in KG's mind, is only legitimate if The Truth's leash is extended for another season.


13/06/2013
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BOSTON CELTICS : DOC RIVERS POURRAIT DÉMISSIONER

De notre partenaire BasketSession

Les Boston Celtics pourraient venir s’ajouter à la liste des équipes à la recherche d’un coach. C’est ce que semblent indiquer les dernières rumeurs NBA. Selon le Boston Globe, Doc Rivers, resté muet avec la presse local depuis la fin de la saison des C’s, aurait enfin donné signe de vie mais il aurait également indiqué qu’il ne souhaitait pas évoqué son avenir.

Gary Washburn du Globe explique que le coach aurait confié qu’il avait besoin de temps pour se remettre de ses émotions de cette année et que c’était la raison pour laquelle il n’avait pas communiqué, depuis la fin de la saison. Une situation qui pourrait être révélatrice d’un certain malaise du côté du coach, qui pourrait décider de ne pas poursuivre l’aventure avec les Celtics. Interrogé par le journaliste pour savoir s’il était encore dans un processus de décision, il a répondu qu’il "ne préférait pas en parler".

Doc Rivers ne s’est pas exprimé dans la presse depuis la fin de la saison mais il a participé aux workouts pré-draft. Il aurait déjà discuté de son avenir à plusieurs reprises avec le président des opérations basket, Danny Ainge. Il lui reste encore 3 ans de contrat à hauteur de 21 millions de dollars mais selon les rumeurs NBA, il pourrait annoncer sa démission d’ici moins d’un mois. Son futur serait fortement lié à celui de Paul Pierce et Kevin Garnett. Il a indiqué qu’il s’exprimerait publiquement très "bientôt" sur sa situation. A suivre donc…


13/06/2013
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Résultats NBA playoffs 2013. 02.05.13

PLAYOFFS2012-2013

 

 
1er tour
Oklahoma City Thu.(1)
Houston Rockets(8)
1er tour
LA Clippers(4)
Memphis Grizzlies(5)
 
 
1er tour
San Antonio Spurs(2)
LA Lakers(7)
1er tour
Denver Nuggets(3)
Golden State Warr.(6)
 
 
 
 
1er tour
Miami Heat(1)
Milwaukee Bucks(8)
1er tour
Brooklyn Nets(4)
Chicago Bulls(5)
 
 
1er tour
New York Knicks(2)
Boston Celtics(7)
1er tour
Indiana Pacers(3)
Atlanta Hawks(6)
 
 
 

02/05/2013
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Rajon Rondo ronge son frein sur le banc des Celtics

Avec une victoire, les Boston Celtics évitent l’humiliation du sweep. Toutefois, il est indéniable de constater que l’équipe semble parfois perdue sans son meneur de jeu. Blessé au genou pour le reste de la saison,Rajon Rondo continue de soutenir ses coéquipiers tout en regrettant d’être en costume :

« J’aime la compétition, je veux jouer, expliquait t-il avant le Game 4. J’essaie juste de soutenir mes coéquipiers. C’est tout ce que je peux faire et je compte bien le faire. Je les regarde depuis quatre mois désormais, c’est dûr d’être assis à regarder mais je ne peux rien y faire. »

Rajon Rondo a subi la même blessure au genou que d’autres arrières récemment comme Ricky Rubio,Iman Schumpert ou … Derrick Rose. Si certains sont revenus difficilement, Rose n’a pas encore foulé les parquets. Le calendrier habituel annonce qu’après une opération de ce genre, le joueur devrait pour courir à nouveau entre quatre et six mois après. Rondo ne s’inquiète pas plus que ça sur sa rééducation :

 «Tout le monde est différent. Je devrais marcher actuellement et c’est le cas. Je ne peux ni sauter ni courir mais le fait de pouvoir marcher me permet d’être dans les temps dans le calendrier. »


02/05/2013
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Tableau final. PLAYOFFS NBA 2013

  1er tour Demi-finales de Conférence Finales de Conférence Finales NBA
                                     
1  Heat de Miami 1  
8  Bucks de Milwaukee 0  
     
     
4  Nets de Brooklyn 1
5  Bulls de Chicago 1  
     
Conférence Est
     
3  Pacers de l'Indiana 1  
6  Hawks d'Atlanta 0  
   
     
2  Knicks de New York 1
7  Celtics de Boston 0  
  E  
  W  
1  Thunder d'Oklahoma City 1  
8  Rockets de Houston 0  
   
     
4  Clippers de Los Angeles 2
5  Grizzlies de Memphis 0  
   
Conférence Ouest
     
3  Nuggets de Denver 1  
6  Warriors de Golden State 0  
   
     
2  Spurs de San Antonio 1
7  Lakers de Los Angeles 0  



23/04/2013
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Can Jeff Green Be Boston Celtics' Answer to LeBron James?

BY 

 (FEATURED COLUMNIST) ON APRIL 12, 2013

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Greg M. Cooper-USA TODAY Sports

At the 2010-11 trade deadline, Jeff Green was acquired by the Boston Celtics to plug a rapidly expanding hole every NBA defense needs taken care of.

Big men who protect the rim like mother lions guarding their offspring will always be important. But long, athletic wing defenders have become the league's next most valuable asset in preventing opposing teams from scoring—especially in the Eastern Conference, where scoring swing men are plentiful.

With Paul Pierce's lateral quickness declining by the day, the Celtics snatched Green from Oklahoma City primarily because they needed someone to defend LeBron James for heavy minutes in the postseason. (This also applies to Carmelo Anthony, Joe Johnson and Paul George.)

If the Celtics are to make any relevant noise in the playoffs, they'll need Green to do amazing individual work on the defensive end. The task of hounding the world's best players is preposterously difficult, but Boston's biggest X-factor has actually held his own this season.

According to NBA.com/Statscube, James is averaging 27.5 points per 36 minutes against the Celtics this season with Green on the bench and 26.0 when he's on the court. No real difference in the scoring numbers, but the shooting percentages really take a tumble.

With Green on the bench he's shooting 56 percent from the floor and 67 percent from behind the three-point line. With Green on the floor those numbers drop to 48 percent from the floor and 25 percent (!) on threes.

The sample size is tiny, and Green isn't necessarily assigned to cover James every single possession the two share the court, but that doesn't mean the decrease in James' efficiency should be completely dismissed. The word "contain" shouldn't be used to discuss any one person on the planet defending LeBron James, but from a physical perspective, Green does as good a job as anybody matching up with him.

Here he is making James uncomfortable on two separate isolation plays. 

 

 

Carmelo Anthony, a more realistic playoff opponent who poses nearly as many problems for Boston's defense, is averaging 26.8 points per 36 minutes on 44 percent shooting this season. But when he plays the Celtics and Green is on the court, those numbers fall to 19.5 points and 32 percent, per Statscube.

Look how Green bodies him close, preventing Anthony from firing a nightmarish jumper and forcing a drive to which he's athletic enough to contest.

 

 

 

As an aside: In his first season as an All-Star, Paul George has averaged 6.3 points per 36 minutes on 17 percent shooting while sharing the court with Jeff Green this season.

The sample sizes here are all very, very small. And as of today, there's no way to statistically quantify just how important the other four defenders Boston has on the court beside Green are in making great scorers work for their points.

But this season he's shown an ability (on the ball, at least) to make life difficult for the world's best players while they're looking to score.

According to Synergy, Anthony has score in five of 15 possessions where Green is his isolated defender. By comparison, James scored the exact same number of times, not including two possessions in which Green fouled him, out of 15 plays.

Overall Green allows 0.71 points per isolation possession, good for 65th in the league with opponent's scoring 37.9 percent of the time.

When the playoffs start, Boston is guaranteed to be matched up with either the New York KnicksIndiana PacersMiami Heat or Brooklyn Nets in the first round (the latter half of teams being drastically less likely than the former).

All of them boast a forward capable of taking over games on the offensive end, and this is where Green becomes especially important. The Celtics find themselves in relatively good hands when it comes to making life harder for players like LeBron James and Carmelo Anthony, but sustaining that stellar defense over the course of a seven game series is nearly impossible. 


12/04/2013
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Cholet : Gobert supervisé par les Boston Celtics

 
BASKET - PRO A / CHOLET : Rudy Gobert (Cholet)
Rudy Gobert (Cholet)

Selon Ouest France, le pivot de Cholet Rudy Gobert a été supervisé samedi soir par Danny Ainge, le manager des Boston Celtics, lors de la victoire de Cholet contre Le Mans (89-82).

Le jeune pivot de Cholet, Rudy Gobert attire déjà l’œil des franchises NBA en vue de la prochaine Draft. Alors qu’il est annoncé dans le Top 10 de cette Draft, il commence à être supervisé par différentes franchises nord-américaines. Ouest France rapporte ce dimanche que le manager des Boston Celtics, Danny Ainge était présent à Cholet ce samedi soir pour le match gagné contre Le Mans pour superviser lui-même Rudy Gobert. Lors de ce match, le pivot a compilé 8 points à 3/3 aux tirs, 7 rebonds et 1 contre lors des 25 minutes qu’il a passé sur le parquet.

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12/04/2013
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Un choc Miami – Boston qui risque de faire de nombreux déçus…

 

 par 

Les Boston Celtics joueront à Miami sans Paul Pierce et Kevin Garnett demain soir, pour reposer leurs chevilles.

 

Paul Pierce  Kevin Garnett Boston CelticsLes Boston Celtics ont annoncé qu’ils se passeraient de leurs deux leaders Paul Pierce et Kevin Garnett demain soir contre Miami. Les vétérans vont reposer leurs chevilles avant les playoffs, leur 7ème place étant quasi-assurée. Néanmoins, les deux joueurs ont fait le voyage jusqu’en Floride et joueront sûrement le deuxième match du back-to-back à Orlando.

« Je n’aime pas être dans cette situation (de devoir reposer les joueurs), honnêtement, mais c’est la situation dans laquelle nous sommes », déclare Doc Rivers à ESPN Boston.

De l’autre côté, Miami sera probablement sans ses trois stars également. Un match à l’intérêt quasi-nul en somme. A noter que les C’s sont à 0-3 sans Paul Pierce cette saison.


12/04/2013
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Doc Rivers sur Avery Bradley : « Il a du mal »

 

27 mars 2013, 18:23 par 

Avery Bradley connaît des difficultés offensives actuellement. Doc Rivers veut voir son arrière plus conquérant en attaque.

Avery Bradley Boston CelticsAvery Bradley, absent la première moitié de saison, a apporté toutes les qualités défensives qu’on lui connaît depuis son retour le 2 janvier. En revanche, son jeu en attaque est préoccupant. Lors des 8 derniers matches, le chien de garde des Boston Celtics affiche 30,5% de réussite aux tirs. Et les C’s restent sur 5 défaites consécutives. De plus, le ratio passes décisives/balles perdues de Bradley est également en berne (14/14) sur cette période. On peut difficilement établir un lien de cause à effet direct entre les difficultés offensives du numéro 0 de Boston et les défaites enchaînées récemment. Les blessures et la méforme d’autres joueurs de l’effectif sont également à prendre en compte pour explique le creux actuel. Néanmoins, c’est un problème pour Doc Rivers et il faut le résoudre. L’an dernier, Bradley a prouvé qu’il pouvait être efficace des deux côtés du terrain avec des moyennes très bonnes aux tirs (49,8% aux shoots dont 40% à trois-points).

« Il a du mal. Ecoutez, Avery essaie de faire de son mieux. Son adresse est en panne pour le moment. Il peut être adroit, mais quand vous y pensez bien, il est clairement dans une mauvaise passe. Et donc nous devons essayer de l’en sortir », admet le coach des Celtics au Green Street Blog.

Hier, il a connu une nouvelle soirée difficile avec 3 sur 11 aux tirs, et un manque de finition étonnant près du cercle. Même en défense, il a été incapable de stopper J.R. Smith (32 points). Avec les nouvelles absences de Courtney Lee et Kevin Garnett, le reste de l’effectif doit hausser son niveau de jeu pour espérer gagner des matches.

« Surtout maintenant avec tous ces joueurs sur le flanc, on va avoir besoin qu’il soit plus efficace. Je vais sûrement devoir opérer des changements pour l’impliquer plus, pas moins. Je compatis avec lui, parce qu’il veut jouer dur, il veut jouer juste, vous pouvez le voir. Donc, nous allons l’aider », indique Doc Rivers concernant son arrière


01/04/2013
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