LES BOSTON CELTICS

Madame Monsieur,

OUI, des voyous sans foi ni loi ont bien cherché à dépouiller les victimes encore ensanglantées de la catastrophe SNCF de Brétigny-sur-Orge.

OUI, des jeunes ont bien agressé des secouristes, forçant la préfecture de police à envoyer des CRS pour leur permettre de sauver les blessés graves.

Et oui, hélas, le premier réflexe du gouvernement, relayé par de nombreux médias, a été de minimiser, et même de camoufler la réalité.

Le Ministre du Transport a d'abord nié tout pillage des victimes, puis expliqué que les forces de l'ordre, caillassées, avaient simplement été accueillies « de façon un peu rude ». Harlem Désir, sur Europe 1, a pour sa part qualifié ces exactions de « rumeurs » et a préféré saluer la solidarité exceptionnelle (sic) des habitants de Brétigny.

Ceci, alors que les policiers ont trouvé ce SMS, retrouvé dans le téléphone d'un des suspects : « T'as trouvé quoi dans les bagages ? ». Christophe Crépin, porte-parole du syndicat UNSA, qui était sur place, l'a d'ailleurs affirmé de manière formelle : « Il y avait des gens qui étaient en train de perdre leur bras ou leur jambe, et d'autres sont venus voler leur montre ou leur portable ».

Le plus inquiétant, c'est que cette façon de nier la réalité devient une habitude. Ce week-end encore, pour parler des scènes d'émeutes et de guérilla urbaine de Trappes, de nombreux médias ont utilisé les termes « d'échauffourées », de « tensions » ou de « heurts ».

Pour vous, la leçon de tout ceci doit être claire :

Vous ne pouvez malheureusement plus compter sur les médias ou les autorités officielles pour vous informer correctement sur ces sujets « sensibles ». Pour prendre des exemples récents, je suis certaine que vous n'étiez pas au courant :

  - que deux détenus se sont évadés le 23 juin dernier de la prison de Meaux à l'occasion d'une activité de... canoë kayak ;
   
  - qu'une vieille dame de 84 ans, qui voulait rentrer chez elle à Bordeaux, a été obligée de séjourner à l'hôtel le mois dernier parce que des clandestins bulgares avaient squatté son domicile ;
   
  - que l'individu de 32 ans, qui, dans un parc de Villeurbanne, a frappé sauvagement une fille de 4 ans, avait déjà commis pas moins de soixante délits.
   

En fait, je suis convaincue que, même si vous êtes sympathisants de longue date de l'Institut pour la Justice, vous n'êtes pas au courant du quart, voire du dixième de ce qui se produit réellement dans notre pays.

J'en veux pour preuve les réactions de beaucoup de lecteurs au livre « Quand la Justice crée l'insécurité », du secrétaire général de l'IPJ.

Beaucoup sont restés abasourdis devant les réalités révélées dans ce livre. Je vous cite quelques-unes de ces réactions spontanées, qui nous ont été envoyées par email ou qui ont été postées sur le site d'Amazon (vous pouvez lire la totalité de ces dernières en vous rendant ici) :

  « Si seulement 10 % de ce que contient cet ouvrage était exact, ce serait déjà effarant. Or tout porte à considérer que la réalité des faits ici soigneusement décrits va bien au-delà de cette proportion. (...) La plus grande surprise qu'apporte la lecture de ce livre est probablement la découverte de l'étendue de nos idées fausses sur ce problème. Même ceux qui sont déjà convaincus du besoin de plus de justice en France y découvriront l'ampleur de leur aimable naïveté. » Morpho.
  
  « C'est un livre édifiant. Comment peut-on en être arrivé à une telle situation et comment se fait-il que nos politiques soient à ce point aveugles » Robert H.
  
  « Sans excès et avec la plus grande clarté, ce livre dresse un état des lieux qui fait froid dans le dos. Absolument remarquable.» N. de Joncaire
  
  « Il faut absolument lire ce livre pour pouvoir discuter des problèmes de la justice dans notre pays. On ne pourra plus dire: je ne savais pas.» Bourdoc
  

Alors si vous voulez nous aider à ouvrir les yeux de nos concitoyens, merci de transférer ce message autour de vous et, si possible, faites comme Charlotte P. !

« Je fais la promotion autour de moi de votre livre car il est l'explication de la terrible réalité dans laquelle nous « survivons », honnêtes citoyens français, abandonnés par la « Justice. » Charlotte P.

Et, si vous ne l'avez pas encore fait, vous pouvez bien sûr vous procurer ce livre en vous rendant ici (lien cliquable)

Avec tous mes remerciements pour votre aide,

Laurence Havel



Institut pour la Justice

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www.institutpourlajustice.org

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23/07/2013
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